Vous recherchez les plus-values futures et vous intéressez aux actions. Mais vous avez une volonté de diversification internationale. Préférez les fonds proposés par les meilleurs spécialistes de la gestion collective. Un bon nombre d’entre vous objecteront que ce mode d’investissement, certes intéressant, est réservé aux personnes de moins de 70 ans. Erreur, ou, tout au moins, méconnaissance des avantages procurés par l’assurance vie
La pauvreté à feu doux
Les autorités fédérales ont poussé les tendances de 1980-2020 à des niveaux extrêmes. Comment pourraient-elles exacerber ou modérer les tendances actuelles du marché ?
Pourquoi le prix de l’électricité ne baissera plus (1/2)
Faut-il stocker son or à Londres ?
Lorsque l’on évoque le Royaume-Uni, on pense tout de suite « démocratie » et « liberté ». Les qualités britanniques font-elles de notre voisin un bon candidat pour assurer le stockage de vos métaux…
Retour de l’or, après 53 ans d’absence
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Epargne
Dernière Chronique avant… le grand saut dans l'inconnu ?
par Philippe Béchade 31 juillet 2009Quelle sorte d’investisseur s’enthousiasme pour des "signes de stabilisation" repérés par la Fed et le FMI mais ne s’émeut nullement de la spirale baissière sur les salaires aux Etats-Unis, en Irlande et bientôt dans toute l’Europe ? Une chute si brutale que même si le taux de chômage rechutait sous les 9% au lieu de s’envoler au-delà des 10% officiels aux Etats-Unis, la masse des revenus distribués continuerait de diminuer dans de fortes proportions, torpillant la consommation
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J’ai lu le nouveau livre de Marty Whitman, Distress Investing ["L’investissement en période difficile", ndlr.]. Le livre parle d’investissement dans des situations complexes qui peuvent nécessiter une réorganisation, parfois par le biais d’un processus de faillite. L’un des chapitres aborde les moments où vous risquez de faire face à des mauvais fonctionnements, ou à des erreurs de valorisation boursière. C’est intéressant d’y réfléchir en tant qu’investisseur, pour pouvoir trouver ces points faibles où les Bourses font de grosses erreurs de valorisation
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On apprenait hier matin que la société China State Construction Engineering a été introduite en Bourse. C’est la plus grande introduction depuis plus d’un an. C’est également le plus grand constructeur immobilier chinois. Dès que les actions ont touché le marché, elles ont grimpé en flèche… clôturant 56% plus haut que leurs cours d’introduction. A ce cours, elles s’échangent environ 40 fois les estimations de bénéfices pour 2009. Mais pourquoi voudrait-on payer 40 fois les bénéfices pour un constructeur immobilier
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Les stimulants monétaires et économiques sont une escroquerie — des deux côtés de l’Atlantique. En Europe, les banques ont monté une jolie petite affaire — presque aussi intéressante qu’aux Etats-Unis. Elles empruntent de l’argent à la Banque centrale européenne puis le re-prêtent au gouvernement. Et la BCE prête de l’argent à taux bas aux banques — espérant encourager les prêts à la consommation et aux entreprises
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Epargne
Les limites du catéchisme haussier scandé au porte-voix
par Philippe Béchade 30 juillet 2009Jusqu’à quand les médias grand public vont-ils persister à tendre leurs micros à longueur de journée devant des intervenants qui récitent leur catéchisme haussier et ne manifestent jamais le moindre étonnement devant l’enchaînement implacable des séances de gain ? Même les plus blasés des analystes techniques notent que leurs indicateurs mathématiques affichent des comportements qui déjouent tous les pronostics et repoussent les limites du connu. Et si la Fed et les program trading étaient responsables de cette supercherie
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Nous parions que la bêtise est la plus contagieuse et cause bien plus de ravage économiques que la grippe H1N1 — un "vrai sujet" dont les politiques se sont emparés avec une diligence et une détermination qui auraient peut-être fait merveille… si elles avaient été appliquées à la crise des subprime dès fin février 2007, lors de la faillite de New Century Financial. Le pire aurait peut-être pu être évité
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Année dépensière : voilà comment Les Echos qualifient 2009, à la suite de l’estimation par Eric Woerth, ministre du Budget, du déficit public. Ce dernier l’évalue en effet à 7%-7,5% du PIB, soit environ 115 milliards d’euros. De plus, ajoute le ministre, "nous serons probablement au même niveau en 2010. Nous infléchirons les déficits en 2011". Bien que les chiffres soient plus mauvais que prévu, Eric Woerth insiste toutefois sur la différence entre le déficit " dû aux frais de fonctionnement, très mauvais, et l’autre dû à la relance, différent"
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Comment investir dans cette nouvelle ‘normale’ ? Comment investir dans cette incertitude et cette misère économique constante ? Comment investir dans une Bourse aussi volatile et déconcertante ?" Eh bien, la réponse que je propose, c’est de vous construire un "portefeuille permanent" — un portefeuille qui offre la possibilité de faire de bons bénéfices sur le long terme
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Quasiment tout le monde s’attend à une hausse de l’inflation. La base monétaire ajustée des Etats-Unis a plus que doublé au cours de l’année passée. Les déficits sont vertigineux. Le pétrole nous dit que les pressions inflationnistes n’ont pas disparu. L’or aussi semble murmurer — mais non crier — un avertissement : soyez prudent
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Ben Bernanke nous expliquera peut-être aujourd’hui comment résoudre ce paradoxe : le double langage tenu par les banques qui d’un côté justifient l’euphorie de la Bourse par l’anticipation d’un retour de la croissance… et de l’autre ferment le robinet des liquidités lorsqu’il s’agit de soutenir financièrement les forces vives de la nation. La priorité accordée à l’assainissement des bilans, la multiplication des augmentations de capital massives pourraient passer pour de la saine gestion. La réalité est pourtant que le système bancaire est acculé dans les cordes
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Tout comme l’économie, les marchés suivent de longs cycles. Le premier cycle haussier d’après-guerre a mené le Dow Jones de moins de 100 points à près de 1 000 en 1966 […] Néanmoins, le marché baissier actuel dure depuis déjà neuf ans. Mais s’il dure autant que les grands marchés baissiers du 20ème siècle cela signifie qu’il n’est qu’à moitié terminé. Vous pouvez vous attendre à le voir prendre fin entre 2015 et 2020. Où sera le Dow à ce moment-là
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Epargne
L'aluminium menacé par une déferlante de stocks ? (2)
par emmanuelgentilhomme 28 juillet 2009Mi-juin, les agences de presse rapportaient que l’aluminier russe Rusal, empêtré dans son endettement en devises, venait de vendre 500 000 t d’aluminium à l’un de ses actionnaires, le sulfureux courtier suisse en matières premières Glencore. Des sources estiment qu’il s’agirait plutôt de 900 000 t, et que Glencore aurait payé cash
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Epargne
Les marchés enfin débarrassés informatiquement de tout lien avec le réel
par Philippe Béchade 27 juillet 2009Il n’y avait vraiment pas suffisamment de bonnes surprises à monter en épingle vendredi dernier pour entretenir la spirale haussière amorcée il y a 10 jours. Il aurait pourtant suffi que les trimestriels de Microsoft soient simplement conformes aux prévisions et le tour était joué. En effet, la sévère chute du moral des ménages américains a été passée par pertes et profits dès sa parution
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Chose intéressante, pendant que nous, Américains, avons amassé les dettes — et paralysé nombre de nos industries productives — beaucoup d’autres nations du monde ont réduit leur dette et augmenté leurs capacités compétitives. Le Brésil en est un exemple fascinant
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Epargne
L'aluminium menacé par une déferlante de stocks ? (1)
par emmanuelgentilhomme 27 juillet 2009Pauvre aluminium ! L’indice LMEX — qui retrace l’évolution des prix des grands métaux non ferreux, dont notre "alu" est le premier — a rebondi de 27% depuis le début de l’année, et de 51% depuis son "creux" de fin février. Mais la tonne d’aluminium n’a pris que 8% et 28% sur les mêmes périodes. L’une des explications : des stocks colossaux — et multiformes
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La semaine dernière a apporté de nouvelles preuves que la dépression est terminée. Le Dow a grimpé. D’un point de vue technique, on dirait que le rally a encore de beaux jours devant lui. Nous nous rappelons avoir fixé une cible de 10 000 pour le Dow. Peut-être que nous y arriverons. Tout ça sonne vaguement inflationniste… et vaguement haussier. En plus, les actions de Goldman grimpent
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Epargne
Economie réelle/euphorie boursière : comment investir ?
par Françoise Garteiser 24 juillet 2009Ma foi vacille. Mais contrairement à Bill Bonner, ce n’est pas le combat entre l’inflation et la déflation qui m’emplit de doute… mais les fondamentaux eux-mêmes. Ou plutôt l’analyse fondamentale. Car comment investir, comment réagir face au gigantesque n’importe quoi qui règne actuellement sur les marchés ? C’est l’euphorie boursière — face à une économie réelle qui s’enfonce de plus en plus profondément