Les turbos sont des produits à effet de levier. Ils sont risqués mais, conjugués à une bonne utilisation de l’analyse technique, ils permettent d’amplifier les opportunités de marché. Il faut donc être conscient des risques. Par exemple, vous pouvez gagner 100% mais aussi en perdre 50. Mais vous pouvez tout aussi bien faire 150% sur Saint-Gobain : découvrez notre stratégie gagnante
L’écologie punitive et ses ravages économiques
Sous couvert de protection du climat ou de défense commerciale, les gouvernements multiplient les taxes, les restrictions et les directives.
Boom du crédit : jusqu’où l’élastique peut-il s’étirer ?
Quel cours de l’or en cas de retour à un étalon-or ?
L’idée d’un retour à l’étalon-or refait surface avec insistance, à mesure qu’une vague de dédollarisation déferle sur les BRICS+.
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La surprise de cette semaine a été l’annonce de la Chine, qui mettait fin à son lien avec le dollar. L’autre surprise, c’est que ça n’a fait aucune différence. La nouvelle a surexcité les investisseurs… qui ont passé la journée à se préparer à faire grimper les prix. Et rien n’est arrivé. Aucune différence sur les marchés boursiers. Même le marché des devises s’est contenté de bâiller
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Au 21ème siècle, le Mondial 2010 survient en pleine crise économique — et désormais également en pleine crise de confiance pour le plus petit dénominateur commun des habitants d’une partie du Vieux Continent, à savoir l’euro. Les héros chaussés de crampons de chaque pays qualifié étaient censés faire oublier au peuple un peu de sa frustration, apporter du rêve, montrer de la bravoure, faire rejaillir un peu de leur gloire sur leurs supporters. Et voilà que les gladiateurs français, que les médias présentent corrompus par l’argent, sont victimes d’une rupture avec le réel et les attentes du public
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C’est jeudi dernier qui a dû sembler être le jour le plus long, pour Tony Hayward. "Le Congrès déchire le dirigeant de BP", comme le disait le Financial Times. M. Hayward a été confronté à un panel de zombies du Congrès US. Ils l’ont enchaîné à un rocher pour que les membres du comité de l’énergie puissent se repaître de ses organes internes chacun à leur tour
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Grâce au coup de reins providentiel de jeudi soir, les deux indices historiques (Dow et S&P), encore dans le rouge à cinq minutes du coup de cloche final, affichaient en clôture un gain de 0,15% en moyenne et une performance annuelle "positive" de 0,06% et 0,09% respectivement. Les cours ont continué de progresser vendredi à l’ouverture mais les ficelles sont tellement grosses que l’on pourrait y suspendre un taureau reproducteur charolais par les cornes
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Epargne
Investissons aujourd'hui pour prévenir les catastrophes de demain (2)
par ingridlabuzan 21 juin 2010Le coût des catastrophes naturelles augmente, comme nous le voyions vendredi. Cela pour deux raisons : tout d’abord, ce sont des infrastructures de plus en plus complexes qu’il faut reconstruire, des ponts, des autoroutes, des hôpitaux équipés de matériel moderne et cher, etc. A cela s’ajoute le fait que les populations ne s’assurent pas au niveau individuel ; c’est donc l’Etat qui prend en charge les coûts liés à ces catastrophes
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Pour un nombre grandissant de citoyens chinois géographiquement mobiles et particulièrement doués, l’investissement dans l’immobilier à l’étranger devient une nouvelle façon de placer son argent, et une couverture contre un marché de plus en plus précaire chez eux. La classe moyenne émergente de l’empire du Milieu n’a que très peu d’options quand il s’agit de protéger son épargne
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BP a accepté de fournir aux zombies 20 milliards de dollars de viande crue : "BP soutient le fonds de 20 milliards de dollars contre la marée noire", déclare le Financial Times. BP est un producteur. La société produit quelque chose de précieux. En fait, elle produit la chose qui est la ressource la plus précieuse et la plus importante du Pentagone — l’énergie liquide
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D’un côté, les cigales américaines justifient leurs dépenses déficitaires, leurs plans de relance, leurs attaques de la dette avec plus de dette… Elles invoquent Keynes, la nécessité de relancer la demande, les risques d’un effondrement général, etc. De l’autre, les fourmis européennes en appellent à l’austérité, à la rigueur, au besoin d’éponger des années d’irresponsabilité. A la Chronique Agora, les avis sont partagés. Philippe Béchade est d’avis que la rigueur n’aura pas que des conséquences positives
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En France, les chiffres du chômage réel sont tout aussi tabous mais le "filet social" empêchait que le ressenti de la population soit trop anxiogène. L’éloignement des perspectives de départ en retraite (alors que le taux d’activité des seniors est d’à peine 50%) pourrait gâter l’humeur des consommateurs : un redoutable effet de ciseaux se profile
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Epargne
Investissons aujourd'hui pour prévenir les catastrophes de demain (1)
par ingridlabuzan 18 juin 2010Il n’est pas évident de savoir combien de personnes disparaissent au cours d’une catastrophe naturelle — en particulier dans les pays pauvres qui sont, malheureusement, les plus touchés. J’ai donc choisi de me fier aux chiffres de l’ONU. Et celle-ci a établi qu’entre 1975 et 2008, les catastrophes naturelles ont fait 2 284 000 morts dans le monde. Rien qu’en 2008, la Terre a été frappée par plus de 300 catastrophes. Elles ont fait 236 000 victimes et touché directement plus de 200 millions de personnes
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"Le temps, les dévalorisations, et les rééchelonnement de la dette pourraient être les seules portes de sortie pour de nombreux pays". Peut-être que la bourse le ressent de manière inconsciente ; cela expliquerait pourquoi elle montre cette espèce de désordre bipolaire financier qui règne depuis quelque temps. Cette semaine nous a apporté un autre épisode maniaque, propulsant les principaux indices de près de 3% et le Dow au-delà des 10 000, une nouvelle fois, sans raison évidente
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Le grand débat, en ce moment, opposent ceux qui pensent que les autorités sont trop sévères et ceux qui pensent qu’elles sont trop laxistes. En gros, les Européens sont d’un côté, les Américains sont de l’autre. Les Européens resserrent, les Américains desserrent. Ils se trompent tous, pour autant que nous en sachions
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Epargne
Entre la magie du 7 et la fin tragi-cosmique de Fannie Mae
par Philippe Béchade 17 juin 2010Nous ne sommes pas surpris d’avoir vu le CAC 40 plafonner sous les 3 690 points : l’indice parisien vient d’effacer très précisément 50% du terrain perdu entre 4 090 et 3 290 points — la correction ayant atteint -19% du 16 avril au 25 mai. Le même constat peut être établi au niveau des indices américains. L’espoir de hausse supplémentaire des investisseurs repose presque tout entier sur la capacité de l’euro à déborder les 1,2350 $ d’ici ce vendredi 18 juin, journée des "Quatre sorcières"
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Epargne
Le secteur pétrolier va devoir renforcer la qualité et la sécurité de ses forages
par fredericlaurent 17 juin 2010La marée noire s’étend de jour en jour — on parle de 800 000 tonnes se déversant quotidiennement dans le golfe du Mexique. Malgré toutes les opérations de sauvetage tentées par BP, la majeure partie d’entre elles se sont soldées par des échecs — en espérant que l’entonnoir posé récemment ne prenne pas le même chemin
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Selon le New York Times, le Congrès US est pris entre le marteau et l’enclume. D’un côté, les politiciens doivent réduire les déficits. De l’autre, ils doivent créer des emplois. Bien entendu, le Times ne comprend rien à rien. Il essaie de faire croire que les membres du Congrès sont juste des innocents pleins de bonne volonté faisant de leur mieux pour résoudre des pressions contradictoires
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Au cours des dernières années, la Chine est devenue une destination de plus en plus attirante pour les capitaux d’investissement. Mais avec la récente faiblesse de la Bourse chinoise — et de sérieuses fissures qui ont fait leur apparition sur la façade de l’économie de la Chine — est-il encore sensé d’y investir en ce moment ? Un gestionnaire financier que je connais pense que oui. En fait, il pense que certaines des actions chinoises cotées aux Etats-Unis s’échangent à des valorisations suffisamment basses pour tripler en 2010, peu importe comment la situation économique évolue
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Le DAX est, depuis quelques années, plus volatil que ses homologues européens. En effet, il a tendance à amplifier les mouvements — à la hausse comme à la baisse. Ces dernières semaines, son comportement a évolué et est devenu très intéressant techniquement. Un phénomène nouveau est apparu, la volatilité du DAX s’est réduite et il a fait preuve d’une force exceptionnelle par rapport aux autres indices européens