Deep State

De l’étalon-or à la dette abyssale des Etats-Unis, les garde-fous monétaires et politiques ont tous été démantelés.

Nous levons le voile sur ce que nous pensons être le futur le plus probable de la finance américaine : un avenir façonné par deux hommes…

Comme jadis Périclès à Athènes, Donald Trump concentre tout autour de sa personne, exigeant loyauté et louanges.

L’idée d’une Europe unifiée refait surface, mais dans un contexte de crise et de division.

La Constitution américaine avait été pensée comme un garde-fou, un « collier électronique » destiné à contenir l’appétit du pouvoir fédéral.

Derrière l’image du chef triomphant, se dessine un monde politique où les règles s’effacent devant la volonté d’un seul homme.

L’affaire Epstein refait surface et continue de dévoiler les failles d’un système où les zones d’ombre demeurent soigneusement épargnées.

Au lieu d’accords réels, ce sont les faux-semblants qui dominent… et la violence qui progresse.

Plus aucun domaine n’échappe à la mainmise politique. Et quand l’Etat dirige tout, ce n’est jamais la prospérité qui en résulte.

Le constat est sans appel : les promesses de rigueur du programme MAGA sombrent dans les excès dépensiers.

Le programme de Trump reste enlisé dans un purgatoire juridique et politique, entre déni de droit, frustration autoritaire et paralysie institutionnelle.

Un monde qui progresse fait beaucoup moins vendre qu’un monde qui brûle.

Quand plus personne ne veut changer le cap, c’est l’Histoire qui finit par imposer la correction.

L’Argentine a choisi la tronçonneuse. Les Etats-Unis, eux, préfèrent la fuite en avant.

Elu comme figure de rupture, Donald Trump devait être le Javier Milei des Etats-Unis – un président iconoclaste prêt à renverser l’ordre établi.

Tandis que le spectacle politique américain monopolise l’attention, les fondations financières de l’empire vacillent.

On accuse les milliardaires de tous les maux. Mais pendant ce temps, l’Etat dépense sans compter… avec l’argent des citoyens.

Promesses de relance, slogans martiaux et politique de perturbation : l’administration Trump affiche une ambition historique.