▪ Jusqu’ici, 2012 s’est révélé un excellent millésime pour notre portefeuille biotechnologique. C’est également une très bonne année pour les investisseurs en biotech en général, et ce malgré la faiblesse de l’économie mondiale.
Ainsi, le Nasdaq Biotechnology Index (NBI) est en hausse de 35%. La performance de mes sélections de valeurs biotech dans ma lettre d’investissement New Tech Insider a même dépassé ces rendements mirobolants.
Depuis longtemps, ce que nous défendons dans cette lettre d’informations est d’acheter les meilleures sociétés technologiques et de les garder pour avoir des rendements importants. Naturellement, ceci comprend les innovateurs biotechnologiques qui composent une grande partie de notre portefeuille.
Investir dans des sociétés biotech à un stade de développement bien avancé et néanmoins toujours en phase pré-commerciale est un moyen certain de faire de beaux profits. Avec Patrick Cox, la première de nos priorités est toujours d’évaluer soigneusement l’aspect technologie d’avenir, le leadership et les marchés potentiellement concernés. Nous avons choisi des entreprises jouissant de grandes plates-formes et qui ont le potentiel de produire de nouvelles thérapies dans les prochaines années.
Bien sûr, il y a toujours un fort élément de risque. Il est toujours possible que la FDA se prononce en défaveur de l’autorisation d’une nouvelle thérapie. Toutefois, investir dans plusieurs leaders biotechnologiques émergents aide à réduire ce risque. Beaucoup de ces entreprises, souvent inconnues du marché, peuvent générer des rendements si énormes qu’ils compensent largement les pertes des entreprises qui n’ont pas réussi.
▪ Les bonnes nouvelles continuent…
Une modification favorable de la réglementation américaine s’annonce dans l’industrie biopharmaceutique, ce qui devrait permettre d’améliorer les conditions pour les innovateurs à l’avenir. Ceci est une excellente nouvelle pour notre portefeuille, ainsi que pour les malades.
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Sur le marché des changes, il y a toujours des occasions de profits…
… Il suffit de savoir les détecter.
C’est ce que fait notre spécialiste des devises, Jérôme Revillier — et ça ne fonctionne pas si mal : depuis le 23 juillet, soit en un peu plus d’un mois, ses conseils ont enregistré une progression de +23,12% grâce à 19 gains sur les 25 dernières positions… soit 76% de taux de réussite !
Dans l’ensemble, le portefeuille de son service a vu sa valeur nette croître de 14,55% sur le seul mois d’août… et ça continue : déjà plus de +4,5% de gain en septembre !
Pour ne pas manquer les prochains conseils de Jérôme, continuez vite votre lecture…
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Plus tôt dans l’année, le projet de loi ‘FAST Act’ a été proposé au Parlement US pour accélérer « l’autorisation de médicaments pour des maladies ou des conditions de santé mettant en jeu le pronostic vital ». Au Sénat, une autre loi, appelée le TREAT Act, a été mise en place dans le même objectif.
Lors de l’Agora Financial Investment Symposium qui s’est tenu cette année à Vancouver, Juan Enriquez, PDG de Biotechonomy, a donné une conférence sur le coût de la réglementation dans l’industrie pharmaceutique :
« On nous rappelle constamment combien il en coûte d’agir. Ils nous le rejouent dans tous les tribunaux. Mais nous ne mesurons pas explicitement le coût de ne pas agir, de ne pas mettre sur le marché des produits ou de ne pas agir assez rapidement et de prendre 10 années supplémentaires pour vendre un médicament dans une pharmacie. De plus en plus, les médicaments et les dispositifs médicaux sont autorisés en Europe avant de l’être aux Etats-Unis. A la suite des autorisations européennes, les Etats-Unis exigent des tests supplémentaires, malgré le fait que des centaines ou des milliers de patients ont déjà été traités. Combien d’Européens sont sauvés tandis que des malades américains attendent le bon vouloir des régulateurs ? »
Nous ne voyons que rarement — sinon jamais — quantifier les coûts que font peser trop de réglementations sur l’industrie pharmaceutique. Mais le temps et l’argent supplémentaires nécessaires au développement de médicaments finissent par coûter des milliards de dollars et des milliers de vies. Ces lois, si elles sont adoptées, permettront heureusement d’apporter un début de réponse à ce problème. Cela ouvrirait la porte à une rentabilité encore plus grande des sociétés biotech qui réussissent à découvrir des médicaments révolutionnaires.