Et si le genre de séisme que redoute Wall Street était d’abord politique ? Bonjour, ▪ Vous ne connaissez sans doute pas Zhang Yuyan ? Moi non plus… jusqu’à ce mercredi…
jeromevinerier
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Parmi les 20 indices sectoriels européens DJ Stoxx existants, celui de la chimie fait sans aucun doute partie des plus performants. C’est d’ailleurs l’un des rares a avoir effacé l’intégralité de ses pertes de 2008, et à évoluer sur de nouveaux plus hauts historiques
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Que nous réservent les marchés actions européens pour 2011 ? Comme de coutume, depuis le début de l’année les pronostics fleurissent, variant d’un extrême à l’autre, même si les optimistes se font plus nombreux que les pessimistes. Du point de vue de l’analyse technique, la situation n’a guère changé ces derniers mois, du moins s’agissant de l’indice Euro Stoxx 50
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Les indices européens ont franchi des niveaux clés ces dernières semaines. Ces événements mettent un terme au risque baissier latent et ouvrent désormais la voie à un mouvement haussier prononcé. Il existe toutefois de nombreuses disparités entre les valeurs et les secteurs. D’où l’intérêt d’utiliser l’analyse technique, un outil précieux pour sélectionner les bonnes actions, et ce au moment opportun. Le moment est donc venu de vous faire un point sur les deux valeurs moyennes qui, à mon sens, disposent d’un potentiel d’appréciation intéressant à court comme à moyen terme
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Depuis le début de l’année, le parcours des valeurs pétrolières et gazières est laborieux : l’indice sectoriel DJ Stoxx 600 Oil & Gas composé des plus importants acteurs cède 7,5% tandis que l’indice européen généraliste DJ Stoxx 600 progresse de 3,6%. Faut-il parier sur un rattrapage ou bien, au contraire, sur une aggravation de la situation ?
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On le sait, crise mondiale oblige, les indices boursiers occidentaux sont à la peine mais, rassurons-nous, toutes les places financières ne sont pas pour autant dans le même cas. Je vous vois venir. Vous pensez que nous allons parler BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) car tout comme moi vous savez que l’investissement via des trackers sur ces marchés émergents offre un intérêt évident tant en raison de leur potentiel que pour la diversification. Eh bien non. Aujourd’hui, je vous propose d’étudier d’autres pays tout aussi intéressants. Parmi eux, et proche du Vieux Continent, figure la Turquie
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Depuis la fin de l’année 2009, le dollar US a bénéficié de son statut de valeur refuge, en se renforçant par rapport aux principales devises. Néanmoins, ces dernières semaines, face à l’afflux de mauvaises nouvelles concernant la santé de la première économie mondiale, la situation s’est inversée. La déception tant sur le front de l’emploi, de l’immobilier que de l’activité économique ont en effet donné lieu à une désaffection du dollar US au profit des autres devises. Ce mouvement constitue-t-il un retournement durable, ou une simple correction
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Comme vous l’avez certainement lu ces derniers jours dans l’une des chroniques de Philippe Béchade, le S&P 500 a enfoncé un important niveau de support à 1 045 points. L’indice leader de la première économie mondiale a ainsi terminé son premier semestre de l’année 2010 sur sa plus mauvaise clôture des six derniers mois : à 1 030,71 points, son recul depuis le début de l’année est à présent de -7,57% au 30 juin
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Comme la plupart d’entre vous l’auront constaté, les craintes sur la monnaie unique ont occasionné des réactions très différentes des investisseurs selon les pays — leur situation budgétaire et financière étant assez dissemblable. Ainsi, depuis le début de l’année — en moins de six mois donc –, l’indice espagnol (IBEX 35) a perdu 22% tandis que son homologue français (CAC 40) n’en a perdu que -12,8% et son équivalent allemand (DAX 30) seulement -2,5% !