Au lieu de la faillite de la Grèce, c'est sur la Zone euro qu'il faut se concentrer
« Ajustement pour raison d’aggravation » Voilà comment le ministre grec des Finances, Evangelos Venizelos, a décrit la prévision de déficit budgétaire revue à la hausse. Le déficit, qui était supposé au départ totaliser le pourcentage considérable de 7,6% du PIB pour l’année fiscale 2011-2012, atteindra à présent un pourcentage encore plus important de 8,5%,