Tout le monde sait ce qui fait qu’une nation s’enfonce et se décompose. Et tout le monde sait que les gens jouent avec le système.
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Désorganisées, cruelles et inefficaces, les croisades ont été un monstrueux échec.
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Cette extravagance rapporte d’énormes dividendes aux puissants participants : fournisseurs, lobbyistes et politiciens.
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Les autorités fédérales gaspillent aujourd’hui une grande partie de la production américaine.
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La richesse et le progrès réels résultent des efforts du « peuple ». Pas des lois, des édits, des brimades ou des menaces des autorités fédérales…
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De l’argent frais a été imprimé et ajouté à la masse monétaire. La dette nationale a augmenté de 8 000 milliards de dollars et l’inflation a provoqué…
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La seule façon de rendre aux Etats-Unis leur grandeur est de réduire ce qui les a rendus moins grands.
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Le monde marche à reculons, avec des courants profonds, largement non détectés, qui façonnent nos pensées politiques ainsi que nos marchés.
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Les dépenses déficitaires ne sont en fait qu’un moyen de transférer la richesse du « peuple » vers les initiés et les élites.
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Quel futur attend le monde, pris en étau entre inflation galopante et conflits incessants ?
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Nous risquons d’être confrontés à une dépression majeure.
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La guerre n’est pas nécessairement certaine, et certainement pas nécessaire. Mais comme la drogue et l’adultère, elle ne se démode jamais vraiment.
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Expulser des millions d’immigrants comme le propose Donald Trump pourrait faire vaciller l’économie américaine.
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Aucune situation n’est si sombre… ou si désespérée… qu’un leadership déterminé à Washington ne puisse l’aggraver.
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L’économie de Trump est assise sur les pentes d’un volcan de dettes qui gronde.
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Les humains traitent les chiens comme des enfants. Pendant ce temps, les vrais enfants se font de plus en plus rares.
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Le dollar reste puissant, et l’establishment au pouvoir peut en distribuer des milliers de milliards. Les élites peuvent encore s’enrichir.
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Le gouvernement fédéral doit refinancer 16 000 milliards de dollars au cours des quatre prochaines années.