Examen d’un tournant historique crucial dans l’histoire récente des Etats-Unis…
Vietnam
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Le gouvernement vietnamien a ordonné, purement et simplement, que toutes les plates-formes de trading sur l’or ferment leurs portes d’ici fin mars. Pourquoi ? Une spéculation à outrance et l’usage de leviers hors normes, selon les officiels de Hanoï. Dans son communiqué, le gouvernement stipule que "tant les opérateurs que les propriétaires de plate-forme de trading sur l’or effectuent leurs transactions sur des fondements fragiles qui manquent d’un cadre et de connaissances légales, économiques et techniques"
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Autrefois considéré comme la star des économies émergentes de l’est, le Vietnam a vu tous les investissements étrangers directs, jusqu’à la dernière piécette, être aspirés hors du pays l’année dernière. Par conséquent, vous ne serez pas surpris d’apprendre que la courbe de sa Bourse ressemble plus à une nouille chinoise qu’aux solides prévisions paraboliques promises autrefois
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Epargne
Les "marchés frontières" sont-ils decorrelés des marchés au sens large ?
par Chris Mayer 13 juin 2008Quand la bourse est en berne, la quête des "actifs décorrélés" s’intensifie. "Actifs décorrélés", c’est juste du jargon financier pour désigner les valeurs qui n’évoluent pas au même rythme que le marché général. Quand le marché chute, un actif décorrélé peut parfois augmenter, ou du moins mieux se maintenir que le marché
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George Soros vient de publier un livre : The New Paradigm for Financial Markets ["Le nouveau paradigme pour les marchés financiers, ndlr.]. Il y explique les causes de l’effondrement actuel, qu’il fait remonter au virage à 180° pris en 1980… lorsque le président américain Reagan et le Premier ministre britannique Margaret Thatcher sont arrivés au pouvoir et que l’emprunt a grimpé en flèche. Hm… voilà qui nous semble une idée familière
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Le marché du café est très sensible, pour ne pas dire spéculatif. Les corrections succèdent aux envolées et inversement. Un peu à l’image du marché de l’argent pour ceux qui connaissent. Il y a donc de quoi faire… Ces fortes variations sont le fait des spéculateurs, cela ne fait aucun doute, mais aussi de la météo qui joue un rôle très important dans la formation des cours. Or il est impossible de prévoir une saison à l’avance, si la météo sera clémente ou capricieuse.
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En mars dernier, j’écrivais que le marché du café sortait de sa torpeur. A l’époque, le cours du café arabica était revenu à 111 cents la livre ; j’expliquais que le marché (alors en baisse) était en train de se retourner et qu’il y avait une carte à jouer. Mon conseil était le suivant : "première résistance à franchir : les 125 cents qui, si elle était dépassée, nous permettrait de viser à moyen terme les 137 cents. L’objectif à très long terme restant 318 cents". La réalité ? Le café s’est effectivement retourné à la hausse et a atteint plus de 140 cents courant octobre. Une hausse de +26% depuis mars.