Nous poursuivons aujourd’hui notre passage en revue des principes de base du stock-picking en temps de crise… et des résultats qu’il a rapporté aux lecteurs de MoneyWeek. L’automobile est l’autre grande victime de la crise. Déjà en surcapacités avant la crise et vendant à crédit, le secteur a été durement éprouvé en Bourse, entre juillet 2007 et mars 2009. Sceptiques, nous avons évité de nous placer sur le constructeur Renault et sur les équipementiers Valeo, Plastic Omnium, Faurecia et Michelin
Sujet:
stock-picking
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Trier le bon grain de l’ivraie, à savoir la sélection de valeurs, est la condition sine qua non pour espérer, durant cette crise, obtenir des plus-values avec un risque modéré. Avec Denis Sarget, analyste chez MoneyWeek, ce stock-picking a permis d’engranger des performances absolues dépassant 100% (110% sur Vallourec, 142% sur GEA). Et de rester à l’écart de secteurs en déroute, comme la banque, l’automobile, même si certains spéculateurs ont pu se frotter les mains en prenant des positions à court terme risquées