Un investisseur à Bombay parle le même langage qu’un investisseur à New York. Pourtant, ce sont les particularités des investissements qui font la différence entre les échecs et les succès financiers — les choses mêmes dont les médias financiers mondiaux ne se soucient pas : le genre de connaissance précise, détaillée, particulière, locale dont on a vraiment besoin pour des investissements réussis. Au lieu de cela, on obtient les nouvelles standardisées et imprécises diffusées dans les médias. Et l’investisseur ne sait pas grand’chose… tout en pensant qu’il sait tout
Sujet: