Le pétrole est à 145 $, un petit goût de panique commençait à s’étendre sur les marchés cette semaine, et les consommateurs, quant à eux, font une figure longue comme un jour sans pain. Ce n’est pas étonnant : les chiffres de la croissance sont eux aussi en berne, le pouvoir d’achat — on ne se lasse pas de nous le répéter — recule, et ainsi de suite. Jusque là, tout va bien, je suis à peu près
Sujet:
semaine boursière
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Votre correspondante a trop fait la fête hier soir… et passe donc un samedi fort déconfit, entre aspirine et infusions de verveine. Il en est de même pour les marchés boursiers. Après des années de fête débridée, l’excès de liquidités est en train de ruiner l’organisme boursier — et les autorités ont beau administrer force Alka-Seltzer monétaire, rien n’y fait, la nausée et les migraines persistent