Ben Bernanke a clairement laissé entendre qu’il était prêt à tous les assouplissements des taux nécessaires. Il veut permettre aux banques de se renflouer en liquidités. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que les marchés tablent sur de nouvelles détentes. Sauf que, sauf que… … du coup, le dollar baisse de manière vertigineuse. Beaucoup de financiers voient la devise européenne atteindre les 1,70 dollar. Mais entre la BCE qui refuse de baisser ses taux pour lutter contre le risque inflationniste et la Fed qui cherche désespérément à sauver les marchés, la différence des taux d’intérêt ne fait que creuser l’écart entre les deux monnaies
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