Un trait commun des différents métaux high tech est leur participation à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Nous vous avons assez parlé des platinoïdes (platine, palladium, rhodium, ruthénium…) sans qui les pots d’échappements catalytiques n’existeraient tout simplement pas
platinoïdes
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En raison d’une succession de goulets d’étranglement, le marché du platine a tendance à être en déficit depuis environ huit ans. Globalement, les minières peinent à atteindre leurs objectifs de production : en 2003, AngloPlat visait les 3,5 millions d’onces de platine pour 2006. Elle n’en a sorti finalement sorti que 2,8 millions
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Epargne
Le rhodium, ce petit métal qui monte, qui monte (2)
par emmanuelgentilhomme 21 décembre 2007L’importance de la Russie sur le marché du rhodium est inversement proportionnelle à sa production. Vous allez voir, c’est relativement simple : l’Afrique du Sud est un pays stable, dans lequel des sociétés écoulent leur production à peu près librement. Comme les mineurs sont privés, et souvent cotés en Bourse, on peut essayer de prévoir leur production. Pour l’instant, elle n’est pas attendue en hausse. Les choses sont très différentes en Russie
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Auprès de ses cousins, le palladium tient le rôle du mal-aimé de la famille des métaux platinoïdes (ou Platinum Grade Metals, PGM). La preuve, il est moins connu que le platine, alors qu’on en extrait pourtant davantage ! Cette abondance est la première cause de ses soucis. La deuxième : l’opacité qui caractérise son marché dont le premier pourvoyeur n’est autre que la Russie.