"L’or dit quelque chose", écrit Mark Gilbert, éditorialiste de Bloomberg. Que dit-il ? Personne ne le sait. Enfin, personne dans les bureaux de la Chronique Agora. Nous écoutons. Nous entendons. Mais nous ne savons pas encore ce que diable l’or pourrait bien dire. Le métal jaune s’exprime par énigmes. La semaine dernière, l’or a encore parlé. Il a atteint de nouveaux records
Adrian Ash, spécialiste du marché aurifère, était autrefois responsable éditorial au sein de notre "cousine" anglaise, Fleet Street Publications ; à présent, il est responsable de la recherche dans un organisme permettant aux particuliers d’acheter de l’or physique dans des conditions tout à fait exceptionnelles. Mérites comparés des coffres-forts new-yorkais et zurichois, différences entre l’or "alloué" et "non-alloué", difficultés des particuliers à se positionner sur l’or physique… la discussion a été passionnante.