Nos lecteurs savent déjà que ce qui se déroule sous nos yeux aujourd’hui n’est guère la « récession » ordinaire — voire le double creux — dont déblatèrent quotidiennement les chroniqueurs à la télévision. En effet, la nature même d’un double creux implique que, quelque part entre le premier fléchissement et là où nous nous situons aujourd’hui, il a existé une certaine « reprise ».
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