Depuis quelques jours, nous développons notre nouvelle théorie du gouvernement. Evidemment, nous ne sommes pas complètement sérieux. Mais nous ne sommes pas non plus « non-sérieux ». Tout ça ne monte toutefois jamais au niveau d’une théorie. Il s’agit plus d’une idée :
gouvernement
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Souvenez-vous : dans notre Chronique d’hier, nous avions quelques questions sur la divinité supposée des dirigeants de l’Egypte ancienne. Les Egyptiens eux-mêmes avaient certainement des doutes — ou alors ils étaient parmi les gens les plus impies que la Terre ait jamais portés. Pharaon était censé être un dieu.
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▪ Que pensez-vous de ça ? Une nouvelle théorie sur le gouvernement. Oui, cher lecteur, nous n’arrêtons pas de réfléchir.
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Inflation et récession
Gouvernements hyperactifs et dette souveraine
par Eric J. Fry 26 octobre 2011Question : Combien faut-il de ministres des Finances pour perpétuer une crise monétaire ? Réponse : Vingt… et tous se sont retrouvés à Paris le week-end dernier. Qu’importe les propositions, les 20 sont tombés d’accord pour affirmer que la clé pour mettre fin à la crise en Europe était plus d’action gouvernementale… et certainement pas moins. Mais « ne pas en faire assez » n’est sans doute pas le plus grand risque du moment. Ce serait plutôt en faire trop.
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La Grande correction a beaucoup de travail à faire — il y a tant de choses à corriger ! Et ça prendra du temps. Pendant ce temps, votre but en tant qu’investisseur est de perdre moins d’argent que les autres. Qui perd moins gagne ! Les actions devraient baisser. L’immobilier devrait baisser. Même l’or devrait baisser… à mesure que le dollar grimpe ! Le cash sera roi…
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"La relance américaine a dépouillé nos petits-enfants", écrit Darrell Issa, membre du Congrès US, dans le Financial Times. Nous sommes surpris. Nous ne pensions pas que quiconque, au Congrès US — à part Ron Paul — avait la moindre idée de ce qui se passe. M. Issa semble être une autre exception
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Comme on pouvait l’anticiper, "la hausse des matières premières réduit les marges bénéficiaires", rapporte le journal Barron’s. Certains analystes justifiaient les cours élevés des actions par le fait que les bénéfices étaient à des sommets record. Evidemment, avons-nous commenté, s’ils sont à des plus hauts record, ils vont probablement baisser