Nous sommes à mi-chemin d’un week-end où tout pourrait basculer. Demain, les Grecs vont aux urnes, et le résultat du vote pourrait plonger les marchés dans une débâcle « ouverte ». Bien entendu, ce ne serait là que le catalyseur d’une crise qui couve depuis des années ; la goutte d’eau, en quelque sorte, qui ferait déborder le vase.
Sujet: