Durant la dernière année et demie, le Général Marché était maître du terrain. Il a repoussé les mouches du coche un peu partout. Les bourses mondiales ont subi défaite après défaite. Même les marchés dont on pensait qu’ils étaient "découplés" de ceux du monde occidental ont chuté comme des dominos sous l’attaque du Général Marché. Quant à l’immobilier… le Général Marché a déjà capturé environ 25% de l’immobilier américain
dépression
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Aujourd’hui, cher lecteur, nous allons vous confier un grand secret. Pssst… nous vivons une dépression, pas une récession. Les économistes n’ont aucun moyen sûr de différencier les deux. Pourtant, elles sont profondément différentes. Nous allons vous expliquer pourquoi… et aussi pourquoi la crise actuelle mérite le terme "en D" et non celui "en R"
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Nous avons bien ri hier matin. Notre philosophe préféré, Thomas L. Friedman, a semblé comprendre tout à coup quelque chose d’important : "Il n’y a pas de remède miracle à cette économie de crise", a-t-il déclaré. "Le fait qu’il n’y ait pas de pilule unique ne signifie pas qu’il n’y a rien à faire […] Bonne chance, Tom. Les gens qui font toutes ces merveilleuses choses sont ceux-là mêmes qui n’ont pas remarqué que quelque chose n’allait pas dans le secteur financier
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L’Islande a fondu. Le gouvernement islandais s’est engagé à sauver le secteur bancaire — mais pour près de 500 000 $ par citoyen ! En Europe, à ce jour, le coût est estimé à environ 7 000 $ par citoyen. Cependant, les experts insistent sur le fait qu’une bonne partie de cet argent — prêté aux banques — reviendra au gouvernement. Et dans le reste du monde ? Qui sait ?