La Fed a agi pour assouplir sa politique monétaire – donnant ainsi un coup de pouce aux consommateurs américains, soutien de la croissance mondiale. Est-ce que ce sera suffisant ?
dépenses de consommation
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Croissance, pays émergentsDette
Le consommateur américain, ce super-héros
par Nomi Prins 29 novembre 2019Deux tiers du PIB US sont dus aux dépenses de consommation des Américains. Mais les ménages commencent à tirer la langue…
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Inflation et récession
Baisse de l’immobilier et des dépenses de consommation US : le PIB n’est pas aidé !
par Bill Bonner 31 janvier 2012▪ C’est ce que l’équipage a dit aux passagers du Costa Concordia juste avant que le navire sombre. Et c’est ce que l’équipage de l’USS America — le plus grand bateau de croisière au monde — disait à ses passagers il y a quelques jours. Tutto va bene.
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Les dépenses de consommation sont en hausse aux Etats-Unis, apprend-on. Les prix de l’immobilier aussi. Même l’emploi grimpe. Enfin… pas vraiment. L’emploi se "stabilise". Parallèlement, les chiffres nous disent que les revenus sont en baisse. Il est donc difficile de savoir quoi croire. Nous aimerions voir des espèces sonnantes et trébuchantes… entre les mains des gens. Une chose est en train de se passer, selon les experts : les Américains perdent leur maison et ne paient pas leurs dettes. Ce qui libère une partie de leurs revenus pour être dépensée
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Deux choses importantes se sont produites la semaine dernière — et toutes deux projettent une lumière écarlate sur la situation actuelle. D’abord, le Dow a continué de chuter. Il a perdu plus de 200 points. Peut-être que ce n’est rien. Peut-être que c’est important… le début de la prochaine "jambe de baisse" tant attendue… le premier jour d’un Octobre Rouge sanglant
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La phrase d’emprunt — l’expansion de crédit — est assez plaisante. On se sent riche… et intelligent. On a de l’argent à dépenser. Le prix de vos actifs grimpe. Vos actions montent. On pense même avoir découvert une formule miracle — le moyen de devenir riche sans travailler ou épargner. C’est aussi simple que d’acheter une maison. Son prix grimpe. Vous en achetez donc une autre… ou deux… ou trois. Puis, hélas, arrive le jour où l’on doit rembourser l’argent que l’on a emprunté — la contraction du crédit. On ne se sent plus si intelligent
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"Les Américains réduisent radicalement leurs dépenses", déclare le New York Times. La nouvelle n’est pas encore officielle. Peut-être que le New York Times met la charrue avant les bœufs. Mais les preuves provenant des chaînes de magasins, des sociétés de cartes de crédit et des sondages sur la confiance des consommateurs pointent toutes vers la même direction — le bas. "A tous les niveaux de la société américaine", déclare le NY Times, "des ouvriers aux gens aisés", on dépense moins d’argent
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Nous assistons à une dernière charge désespérée du Capitalisme mûr et dégénéré… Le Dow a atteint un nouveau sommet historique cette semaine. Tout ce qui a un prix semble grimper — le pétrole a re-dépassé les 80 $… et l’or a grimpé. Cela peut sembler de bonnes nouvelles — du moins pour tous ceux qui souhaitent une série de prix haussiers. La "flation" qui commence par "in" a une longueur d’avance sur celle qui commence par "dé". Cela signifie que le dollar baisse. Et lorsqu’il baisse, il permet d’acheter moins d’actions, moins de pétrole… et moins de nourriture.
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Fin de semaine difficile sur les marchés — avec une séance d’un rouge quasi-unanime de part et d’autre de l’Atlantique. Il faut dire qu’avec la vague de statistiques en tous genres qui s’est abattue sur l’économie vendredi, les investisseurs avaient fort à faire… et on ne peut pas les blâmer d’avoir choisi de baisser les bras, faute de savoir comment interpréter toutes ces données.