▪ Notre mère a fêté son 90e anniversaire dimanche, à Charlottesville. Notre oncle Jules, 95 ans, était présent. De même que notre voisin quand nous étions petit. Il avait trois ans de moins… vivait dans ce qui avait dû être une cabane d’esclaves… et était presque aussi pauvre que nous.
déflation
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Inflation et récession
La croissance des Etats-Unis se porte bien… selon Alan Greenspan
par Chris Mayer 29 août 2011▪ Les Etats-Unis dépensent trop, beaucoup trop. Chaque mois, d’énormes sommes sont déboursées rien que pour payer les factures d’électricité. Jusqu’ici, les créditeurs se sont montrés généreux en accordant des prêts toujours plus importants aux Etats-Unis — en achetant sa dette — à des taux d’intérêt très bas. Clairement, on ne peut continuer ainsi éternellement.
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Or & Matières Premières
Pourquoi Warren Buffett se trompe sur l'or (et sur d'autres choses)
par Bill Bonner 25 août 2011Nous avons acheté l’or à environ 300 $ au début du siècle. Il en vaut désormais près de six fois plus. Et si Ben Bernanke annonce une nouvelle vague d’impression monétaire, l’or pourrait terminer la semaine à plus de 2 000 $. S’enrichir, c’est vraiment du gâteau.
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Inflation et récession
Les programmes de relance : le vrai drame de l'économie
par Bill Bonner 4 juin 2011▪ Un nouvel acte a commencé. Les agences de notation remettent en question la valeur de la devise de réserve mondiale ; les banquiers centraux vendent la devise papier pour acheter de l’or.
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Tout le monde observe l’inflation. Enfin, tout le monde essaie d’observer l’inflation. Certaines personnes pensent en voir. D’autres ne voient rien du tout. "Enfin, si on surveillait les prix à la consommation comme autrefois", déclarait notre collègue Chris Mayer il y a quelques jours, "on aurait de l’inflation à 8% environ"
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Epargne
Les bulles se terminent toujours dans les larmes… celle de la Chine ne fera pas exception
par Bill Bonner 23 novembre 2010Les nouvelles suivent la course du soleil. Elles ont commencé par des doutes sur la solvabilité de l’Irlande… sont passées à des craintes sur la possibilité d’un défaut de paiement de la Californie… et se sont terminées avec des doutes sur la Chine. On a appris vendredi que l’Empire du Milieu cherchait à ralentir l’inflation
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L’once a pulvérisé les 1 300 $, à 1 314 $ actuellement. Soit 960 euros. La foule déprime : de mauvaises statistiques américaines et une anémique croissance du deuxième trimestre revue à 1,6%. Pourtant, les bons du Trésor atteignent des sommets. Pourquoi diable les gens s’arrachent-ils des créances d’un pays qui s’enfonce dans la léthargie économique et imprime de la monnaie à tout va
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Epargne
Nouveaux sommets pour la devise la plus importante du monde
par Françoise Garteiser 24 septembre 2010La devise la plus importante du monde a encore fait parler d’elle cette semaine. Son rôle se fait de plus en plus essentiel dans la marche de l’économie… et son cours est surveillé comme le lait sur le feu par d’éminents spécialistes. Je parle de l’or, bien entendu ; à 1 300 $ l’once, il a atteint cette semaine de nouveaux sommets… Et ce n’est pas près de s’arrêter, si l’on tient compte d’une nouvelle menace qui pèse sur les marchés des changes. Elle trouve son origine dans la géopolitique — Jérôme Revillier, spécialiste du Forex, donnait quelques explications dans L’Edito Matières Premières & Devises
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La lettre d’information Market Oracle ["L’Oracle des Marchés", NDLR] intervient dans le débat inflation-déflation et déclare : "la déflation liée au processus de désendettement ignore complètement le fait que nous ne vivons PAS dans les années 1930, mais dans une économie mondiale globalisée qui voit la convergence des PIB réels, puisque le monde en voie de développement dévore les ressources mondiales à un rythme plus rapide que celui auquel l’Occident réduit sa consommation"
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L’or se rapproche de son sommet historique de 1 262 $. Ce qui nous pousse à nous poser des questions sur le métal jaune. Il semble être dans un extraordinaire marché haussier. Lorsque les prix des actions baissaient, il y a une semaine — l’or grimpait. La semaine dernière, les actions grimpaient. L’or aussi. Risque, pas risque… l’or ne semble pas s’en soucier. Une analyse extraordinaire, dans le Financial Times, nous annonce que les investisseurs achètent désormais de l’or lorsqu’ils pensent que les risques de déflation augmentent. Ce qui n’a guère de sens… la déflation devrait augmenter le pouvoir d’achat des dollars. Inutile d’avoir de l’or
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Epargne
Angleterre : le "laboratoire du pire" prouve que déflation et inflation peuvent coexister
par Simone Wapler 16 août 2010La Bank of England s’est lancée dans une course folle au yoga mortel, les mesures d’assouplissement monétaires ou quantitative easing consistant à racheter les obligations souveraines. Il s’agit d’une inflation de la masse monétaire par création de monnaie à partir de rien
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"’Les Etats-Unis ne sont plus un moteur de l’économie mondiale depuis 2005 environ, mais elle est alimentée par des pays comme la Chine et l’Inde, dont les économies croissent de 8% ou 9%’, a déclaré Tsukatani. ‘Avec une croissance démographique qui ralentit et une plus grande importance accordée à la réduction de dette, l’économie américaine ne va probablement pas se développer autant’." "Au total, 12,8% de la population américaine était âgée de 65 ans ou plus à la fin 2009, par rapport à 11,3% en 1980, selon Bloomberg. A comparer avec 22,2% au Japon"
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Vous vous rappellerez que feu le boom avait complètement transformé l’Ile Emeraude. Tout à coup, les Irlandais étaient les gens les plus riches d’Europe (en se basant principalement sur la valeur de leurs maisons)… et des centaines de milliers de Polonais et autres immigrants affluaient en Irlande pour trouver du travail. Puis le krach est arrivé. Les Irlandais sont retombés sur terre. Les emplois ont disparu. Les prix des maisons ont chuté (quoique pas autant qu’on aurait pu le prévoir). Et les immigrants ont commencé à rentrer chez eux. De nombreux Irlandais de souche les ont suivis
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Il y a deux grandes écoles de pensée sur ce qui nous attend… ainsi que deux autres écoles renégates. Il y a ceux qui pensent que nous avons une reprise… bien que faible… qui se poursuivra et ramènera finalement l’économie à la vie. C’est la ligne adoptée par l’administration Obama et la majeure partie des économistes grand public. Et puis il y a ceux qui pensent que la reprise ne se produira pas comme prévue… que les efforts de la Fed pour déclencher une reprise — ainsi qu’une demande vigoureuse de la part de l’Asie et des marchés émergents — mèneront à des niveaux élevés d’inflation, détruisant le dollar et les obligations
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Les Etats-Unis sont toujours la première puissance mondiale, non ? Oui… dans le sens où ils peuvent, en théorie, botter le derrière d’à peu près n’importe qui au monde. Enfin, si les Chinois leur en laissent le loisir. Ils détiennent une telle quantité de dollars et d’obligations américaines que s’ils décidaient de s’en débarrasser, l’Amérique se retrouverait dans un beau pétrin. Parce qu’elle ne paie pas assez d’impôts pour financer ses programmes sociaux et le Pentagone en même temps. Elle ne peut pas se le permettre. Alors les gentils Chinois lui prêtent de l’argent
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Epargne
Dette, inflation, déflation… et leurs conséquences inattendues
par Bill Bonner 5 juillet 2010Pourquoi l’or baisse-t-il ? Parce que les gens réalisent enfin que la déflation est le véritable risque, non l’inflation. Le métal jaune pourrait continuer à dégringoler pendant encore longtemps… mais c’est difficile à dire. Il peut grimper durant une déflation, mais tout dépend des marchés — de leur volatilité et de leur incertitude. Durant un ralentissement stable à la japonaise, l’or pourrait baisser et rester bas pendant des années.
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Epargne
La Longue Dépression, la Grande Dépression… et la dépression actuelle
par Addison Wiggin 2 juillet 2010"Nous sommes aujourd’hui, je le crains, dans les premières phases de la troisième crise", a écrit le prix Nobel dans un éditorial du New York Times mardi. La crainte de Krugman vient du fait que la délégation américaine du G20 s’est décidée à mettre en place des "mesures d’austérité" après le sommet. Eux et d’autres économies développées ont préparé des plans budgétaires qui vont réduire les déficits de moitié d’ici 2013 et stabiliser ou réduire le ratio dette /PIB des gouvernements d’ici 2016"
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"Nous aurons de l’inflation et de la déflation. Probablement dans l’ordre inverse. Les prix chuteront à mesure que le secteur privé se désendette. Mais ils finiront par grimper à mesure que le secteur public s’endette de plus en plus, et monétise cette dette en créant plus de dollars"