La Fed, suivie par la Banque centrale européenne, a encore ouvert les vannes, abreuvant de 200 milliards les marchés afin que les banques ne soient pas à sec. Dans cette optique, on attend une nouvelle baisse des taux, au risque de faire progresser l’inflation. Le secteur de la finance devrait retrouver un peu de sérénité au début du second semestre. Il n’est pas dans l’intérêt des pays de voir le désordre s’installer durablement sur les marchés. Et les instances le savent fort bien. Le gouvernement américain va donc se montrer plus incisif pour contribuer à améliorer une situation économique faiblarde, qui nous touche par ricochet
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