▪ Votre correspondante se posait la question ce matin au petit-déjeuner. A quoi pensent les intervenants, pour faire grimper les cours envers et contre tout ? Pensent-ils vraiment que les dettes qui inondent la planète finiront par disparaître ? Sont-ils honnêtement convaincus de la solidité et de la pérennité de la « reprise » économique ?
D’un autre côté… quand on voit la solidité des dirigeants et autorités suprêmes censés orchestrer de main de maître le fonctionnement de l’économie mondiale… peut-on vraiment s’étonner de la légèreté des acteurs boursiers ?
Simone Wapler nous parlait hier de sa récente lecture : un rapport sur l’activité du FMI aux conclusions… implacables, dirons-nous.
« [Le rapport] », nous dit Simone, « parle de faiblesses analytiques. ‘Ces faiblesses sont globalement de deux types : pensée doctrinaire et autres postulats intellectuels ; méthodes d’analyse/connaissances incomplètes’. »
En gros, le Fonds monétaire international est victime de la pensée unique — et ne connaît rien à rien. Non seulement ça, mais il ne cherche même pas à se renseigner pour en savoir un peu plus…
▪ Mais revenons au marché et à leur apparente courte vue. Je connais la réponse que me ferait Philippe Béchade : « comment voulez-vous que des robots soient sérieux ? » (bon, Philippe serait sans doute légèrement plus éloquent).
On ne peut demander à des logiciels de trading programmés pour réagir à des configurations mathématiques de faire preuve de vision à long terme, d’imagination et de bon sens. Un seuil a été passé, ils achètent ou vendent, point. Pas de sentiment, pas de réflexion.
Et l’investisseur particulier, par conséquent, perdu au milieu de ces labyrinthes algorithmiques — comment peut-il s’en sortir ? Eh bien… peut-être en détournant à son profit les réactions des programmes de trading : plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous.
Mais, cher lecteur, c’était sans compter avec les Publications Agora ! Mathieu Lebrun, responsable du service Agora CFD, a mis sur pied une formation complète pour vous aider à profiter de ces mouvements boursiers « générés informatiquement », plutôt que de simplement les subir.
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Les marchés ne sont pas sérieux — vous, si : alors prenez une longueur d’avance… et battez-les à votre propre jeu !
Meilleures salutations,
Françoise Garteiser
La Chronique Agora
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