Nous nous sommes rendu en Irlande pour y voir nos nouveaux locaux… avant de nous intéresser un peu au Deep State.
Pour cette visite, nous voulions loger dans un endroit différent. Nous avons donc choisi un petit hôtel sur la côte appelé le Strand Inn.
C’est un endroit excellent pour manger des fruits de mer et du pain au levain par une journée pluvieuse. Ensuite, on peut aller au bar, boire un petit verre et chanter des ballades à la gloire de héros irlandais morts.
L’Irlande a une population érudite et éduquée. C’est un pays agréable… joli… où les impôts sont bas pour les entreprises. Nous nous développons donc là-bas.
Apparemment, les entreprises échappent aux impôts en délocalisant leur siège ou leur technologie à l’étranger. Nous ferions bien la même chose, mais nous n’avons jamais réussi à comprendre comment se font les économies d’impôts.
Les propriétaires finissent par payer des impôts dans leur pays d’origine. Quant aux Américains, ils paient des impôts US quel que soit l’endroit où les profits ont été générés.
Quoi qu’il en soit, nous avons acheté une grande demeure du XIXe juste après le krach immobilier irlandais… qui a fait baisser les prix moyens de l’immobilier de plus d’un tiers.
Cela semblait être une bonne affaire. Mais chaque investissement immobilier que nous avons fait s’est révélé plus coûteux en argent et en énergie que nous l’avions imaginé. Cette fois-ci ne fait pas exception. Tout de même, c’est un endroit élégant et vaste, qui abritera plus de 150 employés.
La part du lion
Un privilège… un crédit d’impôt… une règle… une interdiction… un morceau de viande par ci, un morceau de viande par là… et les renards ne tardent pas à s’arroger la part du lion |
Mais revenons-en au Deep State…
Une bonne partie de sa croissance est enregistrée dans les textes des réglementations gouvernementales. Dans le cas des Etats-Unis, c’est le Code des réglementations fédérales (CFR) qui retrace toutes les lois décidées par les gouvernements successifs.
Un privilège… un crédit d’impôt… une règle… une interdiction… un morceau de viande par ci, un morceau de viande par là… et les renards ne tardent pas à s’arroger la part du lion.
Mais ce qui nourrit les renards empoisonne l’économie.
Chaque décision demande de la paperasserie, des délais, des permis, des comptables, des avocats. Vous ne pouvez pas faire ci… vous ne pouvez pas faire ça — avec autant d’obstacles sur leur chemin, les entrepreneurs y réfléchissent à deux fois, les investissements déclinent et l’économie ralentit.
Chaque faveur accordée aux renards est un acte de vol… prenant des choses à ceux qui les ont gagnées pour redistribuer la richesse, le pouvoir et le statut aux initiés.
De moins de 25 000 pages lorsque le président Eisenhower a quitté la Maison Blanche, le CFR est passé à près de 200 000 pages actuellement — chacune d’entre elle étant un véritable pot de miel pour les compères du Deep State.
Et qui lit ça ?
Connaissez-vous les règles et les lois que vous êtes en train de transgresser en ce moment même ?
La plupart des gens sont trop occupés à gagner leur vie et à s’occuper de leur famille pour passer du temps à suivre la bureaucratie gouvernementale et ses compères. Mais les renards, eux, ne manquent pas de faire attention… et d’élaborer les règles qui les arrangent.
Une personne honnête est largement à son désavantage.
1 commentaire
M. Bonner: A propos de renards, j’ai l’habitude de dire qu’ils ont graissé la patte aux poules pour qu’elles leur confient la clé du poulailler (par la voie démocratique). En premier lieux, il fallut éliminer les coqs ! Mais pas directement. Pas de meurtres ni de violences trop visibles non plus. On chargea les poules de piqueter les coqs. Certaines avaient la langue acérée et le bec bien rouge, aux encouragements des goupils. Tout mâle récalcitrant était livré à la curée publique. Et toujours sans traces trop visibles. On suce le sang goutte à goutte, on anémie à petit feu, on zombifie. De plus, tout renard sait effacer les traces de ses actes. De façon générale, on vous fait croire qu’il existe 2 races de renards, l’une étant l’ennemie de l’autre. Mais curieusement, les 2 sont d’accord sur l’essentiel: zombifier le poulailler ! Plus tard, on demanda aux poussins de continuer le combat pour aider les poules…
De temps en temps, des renards se livrent à des actes répréhensibles sur les poules. Alors, les poules zombies complices (car stipendiées pour cela) caquettent à bec que veux-tu pour couvrir les cris des malheureuses sacrifiées sur l’autel du Bien Commun.
Quel merveilleux processus ! C’est ainsi que s’est mis en place notre admirable système politico-monétaire.