Quelques chiffres… quelques calculs… quelques réflexions… et une opinion anti-conformiste sur l’épidémie – et les moyens de la contrer.
Nous sommes sur le point de révéler une opinion entièrement non conformiste, non approuvée et probablement non souhaitée au sujet de la guerre de l’Etat US – et d’une bonne partie de la planète – contre le coronavirus. En deux mots : laissons une chance à la paix.
Continuez à vos risques et périls…
Oui, nous sommes sur un sentier long et solitaire… errant entre la vie et la mort… entre les masques et les cercueils… entre veiller sur ses enfants… et faire passer sa pomme en premier.
Ici, dans les hauteurs, nous en sommes arrivé à considérer le confinement universel non simplement comme une erreur ou un crime, mais comme quelque chose de pire encore – un péché contre l’espèce humaine.
Le prétexte employé pour emprisonner tout le monde chez soi est que cela « sauve des vies ». Mais les politiques de la Réserve fédérale ne sauveront pas de vies – pas une seule. Nous mourrons tous, de toute façon. La question est quand… et comment ? C’est là que serpente notre périlleux sentier.
Des animaux de zoo
Alors équipons-nous et allons-y. Un avertissement : ce ne sera pas facile. L’air est raréfié, le chemin est plein de pièges et de trous… et ce que nous cherchons est plus difficile à trouver qu’une aiguille dans une botte de foin.
Ce que nous cherchons, c’est le sens de la vie elle-même, caché quelque part dans le vaste univers obscur.
Un petit indice sur notre conclusion à venir : si le but premier des humains était de sauver des vies, nous ne serions jamais descendus de l’arbre. C’était (relativement) sûr, là-haut. Nous ne nous serions jamais aventurés hors d’Afrique pour rejoindre la froide Europe. Les tribus sibériennes n’auraient jamais traversé le passage vers l’Amérique… et Christophe Colomb ne se serait jamais risqué de l’autre côté de l’Atlantique.
« Restez en sécurité », disent les affiches et les signatures d’e-mails. Mais s’il n’y avait que la sécurité, nous ne ferions pas de guerres… nous ne nous marierions pas… nous n’aurions pas d’enfants… nous ne risquerions pas notre argent en investissant… nous ne construirions pas d’usines, nous ne conduirions pas de voitures, nous ne volerions pas en avion… nous n’explorerions pas l’espace… nous ne permettrions pas à nos enfants de faire du vélo ou du sport…
Nous ne fumerions pas de cigares, nous ne boirions pas de whisky, nous n’oserions rien faire qui pourrait causer des dommages, de la douleur ou des pertes.
Bref, nous ne serions pas humains. Nous serions plutôt comme des animaux de zoo, maintenus en vie par les experts et les autorités, qu’on laisse se reproduire… mais sous le regard vigilant des gardiens, pour s’assurer que nous ne nous faisons pas mal.
Une entreprise risquée
C’est une vie en cage – derrière des barreaux, dans une nature factice – que les experts proposent à présent. Ils nous protègeront du virus en nous ordonnant de rester chez nous. Et ils nous nourriront de fausse monnaie… comme on donne de la soupe à la sciure à des prisonniers de guerre.
La vie humaine est une entreprise nécessairement risquée. Du berceau à la tombe, nous sommes toujours en danger – de perdre ceux que nous aimons… de perdre notre honneur… notre liberté… notre argent… notre courage… notre dignité… et notre place au Paradis. Perdre la vie est inévitable – et le moindre de nos soucis.
La vie se termine toujours de la même manière : par la mort. La chose la plus importante n’est pas de l’éviter – c’est impossible. Non, l’important c’est d’accepter les risques de la vie réelle… de s’en tirer le mieux possible…
… Et lorsque notre heure et venue, de ne pas gémir et trembler, mais mourir avec grâce et dignité. C’est pour cela que les Anglo-Saxons appellent la pneumonie « l’amie du vieil homme ». Elle l’aide à franchir le pas avant qu’il n’ait besoin de tuyaux et de pots de chambre. Le Covid-19 offre la même chose – à ce qu’il semble.
Un calcul simple
Mais revenons-en aux mathématiques. Nous avons examiné les inconvénients du confinement universel. Qu’en est-il des avantages ?
Il y a tant de statistiques volant en tous sens – avec plusieurs chiffres après la virgule ! – que nous pourrions choisir à peu près celui que nous préférons. Mais nous promettons de ne pas même faire mention des taux d’infection, des taux de mortalité ou tout autre argument chiffré inondant internet en ce moment.
Dans la mesure où ni les professions médicales ni les autorités – et pas même le Dr Fauci – ne peuvent réellement « sauver » une vie, la question est : combien d’années supplémentaires de vie leurs politiques peuvent-elles fournir ?
Aux Etats-Unis, l’âge moyen de ceux qui ont succombé au coronavirus est de 78 ans. C’est presque exactement le même que l’âge de décès moyen aux USA. En surface, il semblerait donc que le Covid-19 ne fasse rien que les schémas « normaux » de vie et de mort ne fassent déjà. Normalement, les gens meurent aux environs des 78 ans. Le Covid-19 les tue à 78 ans aussi.
Attendez un peu. Une personne « normale » – même si elle a des problèmes de santé – âgée de 78 ans peut encore avoir quelques belles années devant elle. Statistiquement, elle peut espérer vivre huit ans de plus.
Ainsi, si la maladie emporte 100 000 personnes qui ne seraient normalement PAS mortes cette année, en tant que nation, les Etats-Unis perdront quelque 800 000 années de vie.
Attendez, pas si vite… Un tiers des morts étaient déjà en maison de retraite ou dans des EHPAD. Combien de ces personnes le virus a-t-il simplement aidées à partir ? Nous n’en savons rien. Nombre d’entre elles sont mortes de causes multiples, par ailleurs. Faut-il accuser le Covid-19 de tout ?
Nous y reviendrons demain…
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Pour trouver le sens de la vie, vous pouvez voir cette vidéo intitulée Quête de sens avec Bernard Allemane, la voix françoise de Morgan Freeman au cinéma.
https://www.youtube.com/watch?v=IsFdXH11wTw
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Cette vidéo n’est pas une action prosélyte vers une organisation, quelle qu’elle soit, mais un partage d’informations et de quête de sens soumis à votre réflexion.