Septembre et octobre sont souvent très volatils sur les marchés, et cette année ne fait pas exception. Octobre est aussi et surtout le mois des krachs : 1929 et 1987, année de la sortie du premier Wall Street. En revanche, octobre n’est pas l’un des mois les plus baissiers, contrairement aux idées reçues. C’est uniquement l’un des plus volatils. Septembre est par contre un des plus mauvais mois historiquement. Mais en cette année particulière de trading range, ce mois de septembre est le meilleur sur les indices américains depuis sept décennies ! Rien que ça
sebastienduhamel
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Je profite que la saison des ouragans soit ouverte aux Etats-Unis pour revenir avec vous sur la configuration du pétrole et, plus particulièrement celle du brent. Bien évidemment, le risque d’ouragan est quasi inexistant en mer du Nord. Néanmoins, rappelons-nous que le prix du brent définit celui d’une large partie des pétroles extraits sur la planète
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Hier, nous nous posions les questions suivantes : que se passe-t-il sur les marchés américains ? Quelles perspectives pouvons-nous dégager sur le S&P 500 ? Avant de répondre concrètement à ces questions, j’avais d’abord commencé par revenir — au moyen d’une courte rétrospective — sur la configuration technique actuelle du S&P 500. Je vous avais par exemple expliqué que la death cross qui s’était matérialisée sur l’indice le 2 juillet dernier n’avait pas engendré — comme certains le prévoyaient — de correction particulière
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Le rally d’été impulsé par les bons résultats publiés par les entreprises se poursuit sur les marchés. Et ce, malgré des statistiques économiques contrastées. Ne nous méprenons pas pour autant, à ce stade, le consensus reste toujours aussi baissier. Alors où en sommes-nous véritablement ? Que se passe-t-il sur les marchés américains ? Quelles perspectives pouvons-nous dégager ? Tel est l’objet de mon texte du jour. En effet, je vais revenir avec vous sur la configuration technique des marchés américains et, plus particulièrement, sur celle du S&P 500
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De l’éolien au photovoltaïque, en passant par les centrales thermiques, Séchilienne-Sidec bénéficie de l’intérêt grandissant des investisseurs pour l’énergie renouvelable. Alors que le titre culminait à 63 euros avant le krach 2008, il a touché fin mai un point bas à 20 euros et rebondit depuis systématiquement sur ce support. Penchons-nous sur la configuration technique du spécialiste de l’énergie renouvelable
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Le 29 juin dernier, l’Institut du Conference Board révisait de son indicateur de croissance en Chine à la baisse, de 1,7% à 0,3%. Cette annonce a provoqué une chute de 4,3% de l’indice action chinois, qui a inscrit de nouveaux plus bas annuels. Pourtant, le Chine reste la locomotive de la croissance mondiale. La sienne devrait encore atteindre environ 8% cette année… le ralentissement de la croissance chinoise reste donc tout à fait relatif
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Les turbos sont des produits à effet de levier. Ils sont risqués mais, conjugués à une bonne utilisation de l’analyse technique, ils permettent d’amplifier les opportunités de marché. Il faut donc être conscient des risques. Par exemple, vous pouvez gagner 100% mais aussi en perdre 50. Mais vous pouvez tout aussi bien faire 150% sur Saint-Gobain : découvrez notre stratégie gagnante
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Le DAX est, depuis quelques années, plus volatil que ses homologues européens. En effet, il a tendance à amplifier les mouvements — à la hausse comme à la baisse. Ces dernières semaines, son comportement a évolué et est devenu très intéressant techniquement. Un phénomène nouveau est apparu, la volatilité du DAX s’est réduite et il a fait preuve d’une force exceptionnelle par rapport aux autres indices européens
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Ces dernières semaines, alors que l’or revenait tester sa résistance au niveau de ses anciens plus hauts de 2009 à 1 226 $ –, le consensus haussier sur l’or se renforçait plus encore. Des journaux économiques au journal télévisé, tout le monde se mettait à vous recommander d’acheter de l’or… Au pire moment ?
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Le secteur des produits forestiers représente 1% du PIB mondial, et un marché de plus de 200 milliards de dollars, avec des débouchés dans la construction, l’ameublement, l’emballage, le papier et l’énergie…La demande est tirée par l’Asie à plus de 40%, Chine et Japon en tête. La Chine joue donc un rôle central sur ce marché, à la fois importateur de grumes, et premier exportateur, en particulier sous forme de mobilier, devenue l’usine à bois de la planète
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J’aimerais faire un point aujourd’hui avec vous sur l’indice de volatilité du S&P 500, le fameux VIX (Volatility Index), indice du CBOE (Chicago Board Options Exchange). Il est essentiel de jeter un coup d’oeil régulièrement sur cet indice lorsque l’on traite les marchés et en particulier en ce qui concerne les produits dérivés. Le VIX est surnommé parfois "indice de la peur". Il mesure l’état de nervosité des marchés financiers. Calculé par le CBOE, il se base sur le prix des options — notamment les call et les put — du S&P 500
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Aujourd’hui, j’ai décidé d’aborder les marchés par un tout autre biais pour commencer l’année en douceur et prendre un peu de recul : nous allons nous pencher sur le Baltic Dry index (BDI). Vous le savez désormais, le BDI c’est l’indice des prix du transport maritime des matières sèches. Il a été créé assez récemment, en 1998, par la société britannique Baltic Exchange. C’est une moyenne des prix pratiqués sur 26 routes maritimes dans le monde sur des minerais, des céréales, et des métaux notamment
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Pour la première fois depuis plus de deux ans, la situation sur le front de l’emploi semble donc se stabiliser outre-Atlantique, et il n’est pas impossible que le léger mieux constaté dans les résultats des entreprises ne perdure pas dans les mois à venir
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Les raisons du gap peuvent être multiples […] et nombreuses, mais elles sont souvent anecdotiques. Au final, le plus important n’est pas cette nouvelle dont vous parle toute la journée la radio ou la télévision, mais la manière dont le marché réagit à la nouvelle ! C’est là tout l’intérêt de l’analyse technique que ceux qui ne font que regarder les nouvelles n’effleureront peut-être jamais
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Un élément me frappe au premier regard sur l’évolution de long terme du blé : le double support horizontal très net au niveau des 440/420 cents, ancien plus haut de 2002 et 2004, dont le dépassement avait provoqué le début de l’impressionnante accélération haussière en 2006. Or, comme par hasard, la correction s’est arrêtée pour l’instant non loin de là, avec un point bas en décembre 2008 à 470 cents
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J’aimerais prendre quelques minutes avec vous pour m’intéresser aux céréales — à commencer par la plus célèbre des céréales dans notre beau pays : le blé. La continuité entre le pétrole et le blé n’est d’ailleurs peut-être pas si incongrue qu’il y paraît
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Alors que nous débutons ce mois de décembre, et que notre cher CAC 40 affiche une baisse de près de 50% depuis le début de l’année — soit peut-être la pire performance réalisée depuis sa création (!) –, se pose la question d’un éventuel rally de fin d’année. Cette année 2008 est à n’en pas douter une année historique pour les marchés financiers
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On constate des répétitions dans les mouvements haussiers et baissiers tous les quatre ans. Si on étudie le fameux Dow Jones depuis 1926, on constate ainsi que la progression de l’indice durant les deux dernières années précédant l’élection américaine a des rendements trois à quatre fois supérieurs — vous avez bien lu