Alors que l’an III de la crise s’ouvre dans nos pays riches — de dettes et de maux –, les enseignements légués par la Grande dépression sont votre botte secrète. Et ces actions, qui ont résisté à l’épreuve du temps, constituent le gage de votre prospérité. Tirer des leçons de la Grande dépression permet de sortir gagnant de la crise actuelle
alexandravoinchet
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Dans la famille des obligations d’entreprises, je voudrais le high yield. Ne vous laissez pas rebuter par ces titres, sous prétexte que les agences de notation les estampillent comme plus risqués. Votre risque, au contraire : des gains plus sûrs et plus élevés qu’avec les actions
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Nouveau désaveu pour Ipsen et son partenaire Roche. Décidément, l’avenir du taspoglutide, une molécule destinée au traitement du diabète, n’est pas assuré. Avec du retard, le candidat médicament en était tout de même arrivé à la Phase III, dernier test clinique avant toute demande de mise sur le marché auprès des autorités sanitaires. Une étape décisive pour le produit mais aussi pour son fabricant, qui, après des années de labeur et de lourds frais de recherche et développement, se demande si les investisseurs seront au rendez-vous
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Trois renflouages n’auront pas suffi à sauver le navire. La banque irlandaise Anglo Irish Bank est en liquidation. Les finances du pays, exsangues. Remarquez le langage. Les autorités irlandaises se demandent si elles doivent créer une bonne et une mauvaise banque ou créer une banque de financement et une banque de recouvrement d’actifs, pour sauver les apparences
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Epargne
Dépendance des retraités : comment faire le tri parmi les spécialistes du secteur
par alexandravoinchet 6 septembre 2010Les services à la personne, largement sponsorisés par l’Etat, sont une première réponse. Pour autant, le seul exemple d’entrée en Bourse est loin d’être une réussite. Le titre Merci Plus a perdu 40% de sa valeur depuis sa cotation en mars 2010. Sur la cote, les spécialistes des soins à domicile se portent mieux. Le titre de l’Allemand Fresenius Medical Care gagne 12% depuis le début de l’année. Les Français Bastide Le Confort médical et LVL Médical Groupe sont en moins bonne forme ; néanmoins, cette dernière recommandation vous rapporte
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Les émergents ont sauvé la croissance en 2009. La crise les a forcés à évoluer. "Nombre de pays sont passés d’un modèle uniquement axé sur les exportations à un modèle hybride faisant la part belle à leur marché domestique", analyse ING IM. Ces mesures de soutien de la consommation d’une classe moyenne grandissante, illustrées par le colossal plan de relance chinois, fonctionnent. Les émergents sont "sur la voie d’une croissance durablement plus élevée", estime Invesco
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11% pour le CAC 40 entre le 21 juin et le 5 juillet, + 9% entre le 5 et le 15 juillet, le baromètre boursier a des sautes de pression et ne prévoit qu’une certitude : la volatilité ne prend pas de vacances. Voici trois façons d’en profiter et de s’en protéger
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Frappant découplage que celui qui divise l’Europe. Le sud fait naufrage et multiplie les efforts pour écoper. Au nord, les vagues financières ont à peine ralenti le rythme de croisière. Entre la débandade de -8% de la Bourse de Paris et l’envol de 22% de son homologue danoise depuis le début de l’année, le choix est évident. Cap au nord ! La Scandinavie : refuge dans la tempête, comme s’en est fait l’écho la presse anglo-saxonne. Voyez le Danemark : sa croissance est attendue en hausse de 1,4% en 2010 et de 1,7% en 2011, selon les chiffres du gouvernement
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Nous poursuivons aujourd’hui notre passage en revue des principes de base du stock-picking en temps de crise… et des résultats qu’il a rapporté aux lecteurs de MoneyWeek. L’automobile est l’autre grande victime de la crise. Déjà en surcapacités avant la crise et vendant à crédit, le secteur a été durement éprouvé en Bourse, entre juillet 2007 et mars 2009. Sceptiques, nous avons évité de nous placer sur le constructeur Renault et sur les équipementiers Valeo, Plastic Omnium, Faurecia et Michelin
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Trier le bon grain de l’ivraie, à savoir la sélection de valeurs, est la condition sine qua non pour espérer, durant cette crise, obtenir des plus-values avec un risque modéré. Avec Denis Sarget, analyste chez MoneyWeek, ce stock-picking a permis d’engranger des performances absolues dépassant 100% (110% sur Vallourec, 142% sur GEA). Et de rester à l’écart de secteurs en déroute, comme la banque, l’automobile, même si certains spéculateurs ont pu se frotter les mains en prenant des positions à court terme risquées
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Alors que nos économies bataillent pour soutenir leur consommation interne, les émergents la voient comme un relais de croissance dans le monde d’après-crise. en décembre dernier, les ventes au détail au Brésil ont progressé de 9,1% en rythme annuel. Les grands réservoirs de consommateurs se trouvent donc en Chine, en Inde, au Brésil et, dans une moindre mesure, dans certains pays d’Amérique latine et du Moyen-Orient
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12,4 millions de personnes atteintes, 7,6 millions de victimes en 2008 ; 26 millions de cas, 17 millions de décès en 2030. Ce fléau qui met en ébullition les laboratoires est le cancer. Les plus à la pointe ne sont pas les sociétés pharmaceutiques traditionnelles mais les biotechs. Dotée d’un fort potentiel, peu chère, découvrez notre valeur préférée pour investir dès aujourd’hui sur les remèdes de demain
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Coup de balai sur nos économies poussiéreuses. Pourtant, la crise n’aura pas perturbé nos femmes de ménage, nounous et professeurs à domicile. Les services à la personne ne cessent de se développer, largement soutenus (financés) par l’Etat, qui y voit un amortisseur du choc socio-économique. Preuve de la maturité de ce secteur, la première société spécialisée arrive en Bourse. A saisir ! Portés par une démographie unique en Europe (vieillissement de la population et forte natalité) et par l’évolution de nos modes de vie (féminisation du travail, essor des familles mono-parentales, maintien à domicile de populations de plus en plus âgées), les services à la personne ont de beaux jours devant eux
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Les établissements financiers continuent à faire de la dette. Obligations convertibles, titres super-subordonnés… Alors que le bon sens appelle à plus de transparence, ce jargon présage la complexité de ces instruments que l’on rassemble sous le nom de dette hybride, parce qu’ils ont les caractéristiques des capitaux propres et de titres de dette, avec moult spécificités. "Le capital hybride représente une part importante des fonds propres réglementaires de la plupart des banques européennes", explique Fitch. Complexe, cette dette, mais attrayante aux yeux de certains gérants obligataires. DWS (Deutsche Bank Group) ou LFG ont fait entrer le crédit bancaire dans leur portefeuille. Ne les imitez pas
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Il n’est pas trop tard pour profiter de la montagne de dettes émises par les entreprises. 2009 a été une année record en matière d’offre, avec 2 173 milliards de dollars émis dans le monde par les entreprises de bonne qualité, ou investment grade (notées de AAA à BBB), selon Citigroup. Et 196 milliards de dollars levés par les émetteurs jugés plus risqués, ou high yield. Record en matière de performance. La catégorie investment grade a affiché un rendement de 15%, selon Dexia Asset Management. Du jamais vu depuis 77 ans. L’indice global High Yield a enregistré une performance supérieure à 60%, battant tous les records, note Wesley Sparks, responsable des gestions américaines de taux de Schroders.
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Jouez le découplage, la montée des devises et des matières premières. Les pays émergents multiplient les émissions de bons du Trésor. Etats-Unis, France, Grande-Bretagne… ne sont plus les seuls à imprimer à tout-va des obligations. A la différence que les émergents vont bien et que leur dette est plus intéressante pour l’investisseur. Alors qu’attendez-vous pour y participer
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Vaccination ou pas ? Si vous vous posez toujours la question pour la grippe A, n’attendez plus pour donner des défenses à votre portefeuille. Les fabricants de vaccins visent un marché dont la croissance est attendue à deux chiffres. Certains se piquent d’une avance qui pourrait assurer votre prospérité
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Epargne
Pour votre patrimoine en 2010, anticipez le retour des dividendes
par alexandravoinchet 10 février 2010Le marché s’attend à une hausse des dividendes de 15% à 20% en 2010, chiffre ING IM. Pour deux raisons. Tout d’abord, 2010 s’annonce différente de 2009. Les sociétés ont comprimé tous leurs coûts, y compris leur dividende. Aujourd’hui, le marché espère, et cela explique le rally boursier, que ces mesures drastiques porteront leurs fruits, que toute hausse du chiffre d’affaires se traduira par des bénéfices