▪ Dans les prochains jours, nous nous embarquerons dans une aventure, cher lecteur — et une expérience, car c’est la toute première fois que nous nous lançons sur ce terrain, à La Chronique Agora.
J’espère vraiment que vous serez du voyage, parce que sans votre aide… nous n’arriverons à rien.
Et aussi parce qu’il s’agit de votre argent.
Voilà des semaines — voire des mois, dans le cas de Simone Wapler et de sa Stratégie — que nous discutons et débattons de la société sans cash. C’est-à-dire des efforts "discrets" mais croissants de la part de notre gouvernement (ainsi que des autorités européennes, voire mondiales) pour contrôler notre argent, ce que nous en faisons et comment nous en disposons.
Simone le dit très clairement : les mesures visant à vous empêcher d’accéder librement à votre argent se multiplient — et je parle là d’espèces sonnantes et trébuchantes, non des signaux électroniques facilement repérables et surveillables pour quiconque dispose d’un ordinateur et de quelques employés motivés.
Renforcement des restrictions sur les paiements en espèces, limitation des retraits et dépôts d’espèces, contraintes sur les systèmes de paiements acceptés par les commerçants, mesures tendant à rendre obligatoires les paiements par cartes de débit ou de crédit… La liste est longue.
Avec vous — si vous l’acceptez –, nous aimerions dire stop.
Arrêter ce processus, alerter les épargnants sur une menace qu’ils ne perçoivent pas toujours, empêcher nos dirigeants de rogner — une fois encore — l’un de nos droits fondamentaux : celui de la propriété.
Assez !
Nous allons passer concrètement à l’action.
Il y aura deux fronts :
– Dans ces lignes, avec toute l’équipe, nous continuerons bien entendu de vous informer sur l’avancement de la situation mais aussi sur les solutions (car il y en a !) pour mettre votre épargne et votre argent à l’abri.
– Ce n’est pas tout… et c’est là que vous entrez en scène : nous allons envoyer une pétition au gouvernement français, pour exiger que la dématérialisation du cash cesse et que nos droits soient respectés.
Nous sommes en train d’y mettre la dernière touche ; le texte sera achevé courant de la semaine prochaine. Je vous l’enverrai dès qu’il sera prêt. Tout ce que je vous demande ensuite, est de le signer… et de le faire circuler autour de vous. Plus nous récolterons de signatures, plus notre demande aura de chances d’être entendue lorsque nous la présenterons à nos dirigeants.
Tout dépend maintenant de vous.
Mme Lagarde, du FMI, affirmait il y a peu — tout à fait ouvertement, sans le moindre scrupule, sans y voir apparemment le moindre problème — qu’il suffirait de ponctionner 10% des dépôts liquides pour résoudre le problème de la dette.
10% de votre argent, disparu du jour au lendemain, sans que vous ayez quoi que ce soit à y redire, sans que vous puissiez y faire quoi que ce soit… simplement parce qu’un bureaucrate, quelque part, aura décidé d’appuyer sur un bouton.
Il est temps d’agir.
Meilleures salutations,
Françoise Garteiser
La Chronique Agora
2 commentaires
Comptez sur moi…
Prêt ?
J – 10 !
L’échéance va être intéressante à suivre pour voir comment les citoyens vont se réveiller de l’action qui est faite contre leur argent !
Votre argent, dites-vous ?
Mais l’argent dont chaque acteur économique dispose est-il réellement le nôtre ou celui de son émetteur propriétaire, les agents économiques n’en étant que les usufruitiers ?
Question de fond : Comment répondez-vous à cela ?