La Chronique Agora

De Bush à Biden, le déclin s’accélère

Biden

L’empire américain était-il destiné à s’effondrer ? En tout cas, le pays a réussi à trouver depuis 20 ans les bons dirigeants pour le mener à la ruine.

Nous continuons le procès le plus important qui ait jamais eu lieu : l’Homme contre Dieu.

Ceci est le 4e jour du témoignage de Dieu.

Dieu tient bon, malgré les graves accusations portées à son encontre. Il est calme, détendu, imposant et aux commandes.

On Lui reproche d’avoir créé un univers d’obsolescence programmée. Si c’est vrai, les dirigeants des Etats-Unis ne peuvent être tenus pour responsables du déclin de leur pays.

C’était « joué d’avance », comme Dieu l’a mentionné dans son témoignage, vendredi dernier.

Est-ce vrai ?

Les décideurs n’avaient-ils pas le choix ? Etaient-ils obligés d’enfoncer l’Amérique dans une dette de 28 000 Mds$, et dans le piège d’aujourd’hui : l’inflation ou la mort ?

A qui la faute, en réalité ?

Dans son témoignage d’aujourd’hui, Dieu livre des noms… et tire au clair la différence entre les idiots utiles et leur autre variété…

Alors s’il vous plait, éteignez vos téléphones, asseyez-vous, et préparez-vous à… la Révélation.

Une accusation réfutée

Oui, c’est toujours moi… Dieu.

Et oui, je promets de dire la vérité, toute la vérité, et rien que la vérité, je le jure…

La semaine dernière, j’ai expliqué Mes limites… Rappelé que tout était « livré » avec un détonateur.

« L’obsolescence programmée », comme l’a qualifiée Bill Bonner en préambule.

Tout ce que j’ai créé disparait… les saisons, les empires, les gens… tout.

Je vous prie toutefois d’imaginer un monde où personne ne mourrait, où aucun politicien ne perdrait jamais une élection, où aucune entreprise ne ferait jamais faillite, où aucun chef cuisinier ne perdrait jamais son emploi pour avoir empoisonné les clients.

Ce ne serait pas un monde très agréable. Il serait ennuyeux. Vain.

Si rien ne changeait jamais… que les mauvaises actions n’entraînaient aucune mauvaise conséquence… il n’y aurait aucune raison de se lever le matin, ni de se brosser les dents…

Ce n’est que parce que les actes ont des conséquences que vous vous donnez la peine d’agir.

Non… Je ne prends pas cette accusation au sérieux.

Le changement est dans la nature de Mon univers… Et j’en suis fier.

Des idiots utiles

Il y a toujours des conséquences et des limites.

Il y a des limites floues, et il y a des limites strictes.

Nous avons surtout parlé des limites floues, jusqu’à présent.

Les empires déclinent, par exemple, mais ils ne le font pas seuls.

Vous pouvez très bien gâcher votre vie tout seul, mais, pour faire chuter un empire, il faut des dirigeants.

A cet égard, les Etats-Unis semblent particulièrement chanceux.

Ils ont trouvé les quatre plus grands idiots du pays pour y contribuer.

Bush, Obama, Trump et Biden.

C’est moi qui les ai tous créés.

Mais ce sont des citoyens qui ont voté pour eux.

Et ils étaient parfaits, pour ce travail : le type d’idiots utiles dont l’Histoire a besoin.

Bush a dépensé 8 000 Mds$ pour sa stupide guerre contre le terrorisme.

Obama a augmenté le fardeau de la dette américaine de 9 000 Mds$ en renflouant Wall Street, après l’éclatement de la bulle des crédits hypothécaires.

Puis Trump est arrivé.

D’une certaine façon, c’est le pire de tous.

Non seulement il a augmenté la dette de 8 000 Mds$, mais il a discrédité la seule chose qui aurait pu stopper l’effondrement : un conservatisme intelligent et lucide.

A présent, aux Etats-Unis, si vous dites que vous êtes « conservateur », les gens pensent que vous devez porter une coiffe surmontée de cornes de bison.

Enfin, maintenant, Biden.

Sérieusement ?

Il monte les gens les uns contre les autres, les pousse à se disputer sur le retrait de statues et des opérations chirurgicales pour que les enfants changent de sexe, il maintient les taux d’intérêts réels au-dessous de zéro (même en phase d’expansion), accroit la dette de milliers de milliards de dollars, et parle de faire la guerre à la Chine : existe-t-il pire formule pour un empire en plein déclin ?

Une question à laquelle nous n’aurons pas le temps d’apporter une réponse aujourd’hui… Mais Dieu reviendra demain pour la suite de ton témoignage.

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