Pour faire un « bon » homme politique, il faut une bonne formation. Par exemple une qui lui permettra de déterminer quels sont les solutions apporter à chaque crise. Et tant pis si elles se révèlent mauvaises…
Quelle femme ! Si seulement nous pouvions être à sa place. Nous aurions tout. La jeunesse. La gloire. La fortune. Le respect.
Qu’elle soit en train de se détendre dans sa « forteresse dorée » – mais qui est, nous assure-t-on « écologique » – à 10 millions de dollars à New York… Ou en campagne pour accumuler des votes pour sa mère… Elle sait toujours quoi dire, toujours.
La même politique
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi tous les gouvernements américains, républicains ou démocrates, appliquent toujours des politiques quasiment identiques ?
Et pourquoi, plus largement, les gouvernements « occidentaux » réagissent-ils presque tous de la même manière à une crise ?
Quand les Etats-Unis ont déclaré la « guerre au terrorisme », presque tout « l’Occident » a suivi le mouvement. Souvenez-vous, en 2003, la quasi-totalité de ces pays approuvait les paroles de Colin Powell, qui a vendu le mensonge des « armes de destruction massive » aux Nations unies… et presque tous ont ensuite participé à l’invasion de l’Irak.
Quand la crise des prêts hypothécaires a secoué les marchés financiers, presque tous les membres de « l’alliance » ont répondu à cette problématique avec des politiques quasi identiques : baisser les taux d’intérêt et injecter plus de crédit.
Enfin, quand le Covid-19 a frappé… encore une fois, à quelques exceptions près, toutes ces nations ont eu recours aux mêmes solutions. Dans les semaines qui ont suivi les premiers retours d’expérience, il est devenu évident que seul un une partie de la population était menacé. Qu’importe : on a décrété des confinements, des obligations de porter le masque… et, plus tard, les vaccins pour tous.
Pour ce qui est de contrôler le virus, nous savons maintenant que même les mesures les plus strictes et les plus paralysantes ne font que retarder l’inévitable. Les pays pratiquant le « zéro Covid » ont bien dû ouvrir leurs frontières à un moment donné. Et puis… le virus s’est comporté comme un virus. La Nouvelle-Zélande, l’un des pays les plus efficaces dans la lutte contre la Covid-19, a enregistré des pics de contamination spectaculaires depuis février.
Des erreurs involontaires ? Peut-être bien.
Un pedigree d’élite
Toujours est-il que les pays de « l’alliance démocratique » semblent répéter les mêmes erreurs … suivre le même guide, en 2003, en 2008, en 2020 …
Aujourd’hui, en 2022, est-il totalement insensé de dire que Vladimir Poutine ne fait que ce qu’il annonce depuis une quinzaine d’années, à savoir tenter de sécuriser le flanc sud-ouest de la Russie face aux intrusions de cette même « alliance démocratique » ? Pourtant, nous ne tolérons qu’un seul point de vue, et ce n’est pas celui-là. Les partisans du « nouvel ordre mondial » s’insurgent en masse contre la Russie… et pointent Poutine du doigt, comme s’il était Adolf Hitler réincarné.
A tort ou à raison ? Nous n’en savons rien, mais comment expliquer que tous ont les mêmes idées au même moment ?
Parce qu’ils sortent tous des mêmes écoles ?
Mme Clinton a fréquenté – quel suspense – les universités d’élite : Stanford, Columbia, NYU et Oxford. L’élite par la naissance. L’élite par la formation. L’élite par la fortune. L’élite par le mariage (elle a dit « oui » à un homme dont les parents sont TOUS LES DEUX membres du Congrès).
Mais surtout, elle représente l’élite par le travail. Avec des diplômes en relations internationales et en histoire, Mme Clinton a dû être ravie quand la NBC l’a embauchée comme « envoyée spéciale » pour un salaire de 50 000 $ par mois. Un joli pactole pour une journaliste débutante sans aucune formation.
C’est l’un des avantages à faire partie du meilleur de l’élite. Vous n’obtenez pas le boulot sur la base de vos connaissances, mais sur la base de qui vous êtes.
Mme Clinton, la fille, a même obtenu un travail encore meilleur, toujours sans rien connaître du métier.
9 M$ en actions
Le site d’information The Hill explique :
« Depuis 2011, Chelsea Clinton a gagné 9 M$ en rémunération de son poste au conseil d’administration d’une entreprise d’investissement, selon le magazine financier Barron’s.
Barron’s a indiqué que Mme Clinton a bénéficié de formidables avantages en tant que membre du conseil d’administration d’IAC/Inter ActiveCorp, une entreprise de médias et d’investissement, qui détient des parts dans près de 150 marques connues, dont Vimeo, Tinder, Angie’s List et Home Advisor.
D’après Barron’s, Mme Clinton, fille unique de l’ancien président Bill Clinton et de l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton, occupe un poste au conseil d’administration d’IAC depuis 2011, ce qui lui rapporte chaque année 50 000 $ d’avance et 250 000 $ en actions IAC assujetties à des restrictions.
Fin décembre, elle a déclaré à la Securities and Exchange Commission [NDLR : l’organisme américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers] détenir 8,95 M$ en actions IAC. »
Que ce doit être amusant pour elle. Assister aux réunions du conseil d’administration d’une entreprise dont elle ne connaît rien. Des investissements en ligne ? Des rapports financiers ? Que faire ?
Vous posez des questions sur le programme de « diversité ». Vous interpellez les principaux managers sur leur empreinte carbone… Et si, par hasard, la conversation s’oriente vers des questions plus pointues, vous piquez du nez… en vous demandant ce que peuvent bien être des « fonds propres négatifs ».
Mais que faire quand vous en avez trop fait… et que le monde est à vos pieds, tel un soldat ukrainien tombé au combat ? Vous tentez d’améliorer la situation, évidemment ! Mme Clinton avait ainsi des projets ambitieux, qu’elle a présentés dans sa thèse de 2014 à NYU, intitulée « The Global Fund: An Experiment in Global Governance » (le fonds mondial : une expérience de gouvernance mondiale).
Ouh là !
Gardez l’œil, car nous saurons bientôt où cette expérience de gouvernance globale mène exactement.