La Chronique Agora

Quand le plafond de la dette vous tombe sur la tête

Donald Trump

Donald Trump

Que de questions cette semaine !

Quid des dangers présents dans « l’espace public » ? Le terrorisme ? Les clandestins ? Les manipulateurs monétaires ? Les pratiques commerciales déloyales ? De quel type de dangers s’agit-il ? Sur quel type de faits s’appuient-ils ? Des faits réels ? Une autre version des faits ? Ou aucun fait du tout ?, s’interrogeait Bill Bonner cette semaine.

Jim Rickards se posait lui aussi une question qui va préoccuper les États-Unis dans les jours qui viennent : le plafond de la dette est-il un vrai risque… et va-t-il tomber sur la tête de Donald Trump ? Voici ce qu’en pense Jim.

De ce côté de l’Atlantique nous avons (presque) évité de parler de la sortie de l’euro et de la montagne de dettes ingérables auxquelles la France doit faire face. Nous savons que dollar, euro ou franc FN sont des monnaies dont le degré de malhonnêteté est équivalent. Une monnaie honnête doit être adossée à des actifs réels — de même qu’un prêt doit être adossé à de l’épargne déjà existante. Sinon la dette n’est plus maîtrisable.

Peut-être que les grands médias auront cette révélation lors de la campagne électorale française et que les sujets importants seront abordés, plutôt que les « dangers de l’espace public ».

Les banques centrales ont créé un monstrueux désordre monétaire en créant des milliers de milliards de crédit gratuit… et elles vont donc récolter une monstrueuse crise monétaire. Comme d’habitude, l’or aura un rôle à jouer lorsque les mythes du créditisme et de la croissance infinie financée par la dette pesant sur les générations futures voleront en éclat.

Mais nous n’allons pas nous quitter sur une note aussi sombre. Je vous laisse en compagnie d’Etienne Henri qui, après avoir mis en lumière les incohérences de l’Etat-actionnaire, va vous démontrer que certaines pourraient vous être profitables en tant qu’investisseur (même si en tant que contribuable, c’est évidemment une autre affaire) !

Recevez la Chronique Agora directement dans votre boîte mail

Quitter la version mobile