La Chronique Agora

La France, retardataire de la mondialisation

▪ Les planches à billets des banques centrales correspondent à un gigantesque plan de relance de l’économie mondiale, avec de l’inflation et de la dévaluation monétaire certes, mais avec une reprise de la croissance aussi… et il serait dommage que vous ratiez la reprise de nombreux marchés qui commence à se dessiner !

A tous les pessimistes, et au risque de les faire sursauter, nous affirmerons que tant qu’il y aura le capitalisme et la paix dans le monde, la croissance mondiale repartira toujours. A contrario, un monde communiste et en guerre serait la source d’immenses désastres.

D’ailleurs, comme le soulignent les économistes, la croissance mondiale augmente en permanence de 3% à 6% par an, avec une moyenne de 4%, ce qui est énorme. Et pendant cette période de crise, la croissance mondiale a continué à augmenter, même si bien entendu son chiffre est beaucoup plus proche de 3%.

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Pourquoi la France va QUAND MEME faire faillite
Dégradation de la part de Moody’s, inquiétudes du côté de l’Allemagne, portraits peu flatteurs dans la presse… l’étau se resserre sur notre pays : que va-t-il se passer maintenant — et surtout comment vous y préparer ?

Tout est expliqué ici

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Tel n’est bien sûr pas le cas de nombreux marchés financiers qui eux, se sont complètement effondrés.

Leur rattrapage est « sur les rails », car l’immobilier et l’or profitent toujours de l’inflation et des dévaluations monétaires pendant qu’une partie des milliards de planches à billets s’investit tôt ou tard, indirectement, sur les marchés actions.

Cela va même aller plus loin, car le bal des banques centrales a commencé. Ce sera à celle qui imprimera le plus afin que sa monnaie ne s’apprécie pas trop ce qui empêcherait ses entreprises d’exporter.

▪ La Banque centrale du Japon donne l’exemple
Prenez le cas de la Banque centrale du Japon. Elle a récemment imprimé l’équivalent de 800 milliards d’euros parce que le yen commençait à flamber et qu’elle voulait redynamiser son économie intérieure. Les banques centrales chinoise, européenne et américaine suivront.

D’ailleurs, Ben Bernanke, le patron de la Réserve fédérale américaine, s’est engagé à imprimer un minimum de 40 milliards de dollars supplémentaires chaque mois… ce qu’il a commencé à faire !!

Ce phénomène est excellent pour tous les « actifs » de l’économie mondiale, à savoir ceux qui empruntent pour développer leur entreprise ou pour investir dans l’immobilier, car ils verront la valeur de leurs crédits fondre avec le temps.

A contrario, les détenteurs de livrets, de plans d’épargne logement ou de contrats d’assurance-vie en euros sont ceux qui vont payer la crise, car placer de l’argent à 2% ou 3% lorsque l’inflation réelle est de 6%, 8% ou 12% est particulièrement néfaste.

Un autre chiffre est « faussé » par nos dirigeants politiques : celui du nombre de chômeurs. A trois millions de personnes officiellement, le chiffre est beaucoup plus proche des cinq millions en réalité…

La masse monétaire mondiale est en train de devenir énorme, et mécaniquement, elle fera perdre de leur valeur aux billets de banque que vous possédez.

Seuls les actifs vont s’apprécier, et notre nouveau fonds « Katleya Mondialisation » est là pour les cumuler avec la conviction que des SCPI, des actions et de l’or sont des investissements très différents dont les courbes de croissance n’auront rien de symétriques. Bien au contraire, et c’est cette diversification qui fait la richesse d’un tel investissement. Par ailleurs, « Katleya Mondialisation » est là pour intégrer des investissements immobiliers au Brésil, en Thaïlande, en Inde, en Pologne, aux Etats-Unis etc. sous forme de private equity, car nous sommes fermement convaincus que les résultats immobiliers dans ces pays, tant en termes de plus-values que de loyers, vont rester à des niveaux élevés.

▪ Quant à la France…
Pour terminer, et pour revenir à notre pays, sachez qu’il est très mal parti dans une période où le monde entier va aller de mieux en mieux.

Sa politique fiscale, qui transforme les jeunes chefs d’entreprises en « pigeons » comme ils se décrivent maintenant eux-mêmes, est un désastre. Nombreux sont les entrepreneurs qui partent pour des cieux plus cléments fiscalement, sans compter le fait que la profitabilité des entreprises françaises est au plus bas depuis 28 ans…

L’économie libérale disparaît peu à peu dans notre pays pour laisser place à un « racket d’Etat » très préjudiciable là où il conviendrait de transformer la France en paradis fiscal pour attirer les capitaux et les entreprises du monde entier.

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