L’enjeu de santé publique pourrait venir concurrencer l’enjeu économique dans les grandes thématiques pressenties pour les prochaines élections, à la fin de l’année puis en 2024.
La particularité de cette année 2022, c’est que Joe Biden va – sauf miracle – perdre sa majorité le 8 novembre au Sénat (une certitude) et peut-être même à la Chambre des Représentants (équivalent de nos députés) avec le renouvellement d’un tiers des sièges.
Il est rare, pour ne pas dire exceptionnel, qu’un président en exercice conserve sa majorité lorsqu’une récession frappe les Etats-Unis… et Jerome Powell vient d’affirmer ce 22 juin qu’il y a de fortes possibilités que ce soit le cas.
Avec la polémique sur le prix des carburants (plus de 5 $ le gallon dans l’ensemble du pays, et même plus de 7 $ en Californie, un record), mais aussi sur la vaccination des nourrissons et des enfants, voulue coûte que coûte par Biden avec un produit ARN à 99% inutile, sans aucune efficacité prouvée et aux effets secondaires inconnus à court, moyen et long terme, cela s’annonce très « compliqué » pour les parlementaires démocrates mi-novembre.
Cette vaccination des tout petits est recommandée par Joe Biden – qui la présente comme « une immense bonne nouvelle » – sur la base d’un énième mensonge faisant état de 500 enfants de moins de 5 ans « morts du Covid » alors que la bonne formulation est « positifs au Covid ».
Une question de confiance
En effet il n’y a que de très rares cas de grands immunodéprimés au pronostic vital engagé dès leur naissance pour lesquels la cause du décès peut effectivement être directement attribuée aux effets du Covid combinés avec d’autres comorbidités.
L’audition du Dr Fauci (le M. Santé devenu le M. Vaccins ARN de l’Amérique) par le Congrès mi-juin à la suite de l’autorisation expresse du « vaccin » de Moderna contient tous les ingrédients du plus grand scandale sanitaire du XXIe siècle et probablement depuis que les vaccins existent.
Le docteur Fauci a reconnu que les services qu’il supervise avaient validé l’usage d’un produit ARN sur lequel ils ne disposent d’aucun recul, sur la base d’une efficacité supposée – uniquement attestée par les labos qui le produisent – liée à la production d’anticorps (n’importe quel vaccin le fait) dont personne ne sait s’ils sont efficaces spécifiquement sur les variants du Covid.
En ce qui concerne la « confiance » accordée par ses services aux labos (lesquels n’ont fourni que des données très incomplètes et peut-être « insuffisantes » sur l’innocuité du sérum en question), le docteur Fauci a fait cet aveu vertigineux au sénateur Rand Paul qui l’interrogeait : « Les scientifiques qui ont approuvé l’injection pour les tout petits ne sont pas tenus par la loi de dévoiler la nature et le montant des ’soutiens financiers’ dont ils bénéficient de la part des labos. »
Cela revient à reconnaître que le risque de corruption des « validateurs » est énorme et, même si cela paraît insensé, ce scandale potentiel reste non sanctionnable dans l’état actuel des lois américaines : plus c’est gros plus ça passe !
L’enjeu de santé publique pourrait venir concurrencer l’enjeu économique dans les grandes thématiques pressenties pour la présidentielle de 2024.
Ron DeSantis, le gouverneur républicain de la Floride, qui apparaît le mieux placé pour affronter Kamala Harris à cette élection présidentielle (pure hypothèse, car cette dernière est au sommet de son impopularité actuellement) a en effet refusé de commander ces fameux vaccins pour les nourrissons et les très jeunes enfants.
Etudes contre études
Un acte de dissidence qui fait hurler le clergé covidiste de la mouvance Fauci, mais qui s’appuie sur les études de scientifiques remettant en cause la stratégie du « tout vaccinal » imposée par Joe Biden.
Le président s’accroche cependant à sa stratégie et accélère donc avec le vaccin infantile, au mépris de rapports de plus en plus documentés et alarmants concernant le nombre et la gravité des « effets secondaires » suite aux injections ARN.
Elles entrainent un signalement de « perturbations physiologiques sérieuses » pour 800 injections. C’est statistiquement énorme, et beaucoup de médecins bloquent la remontée d’informations cruciales à ce sujet pour des motifs qu’eux seuls connaissent (il serait intéressant qu’ils s’en expliquent).
Mais le plus inquiétant, c’est cette spectaculaire hausse de la mortalité des 16/40 ans par AVC, cancers foudroyants et crises cardiaques « inexpliquées » (hâtivement baptisée « mort subite de l’adulte », un syndrome jusqu’ici non répertorié dans les annales de la médecine et qui frappe de façon singulière des sportifs professionnels) qui se chiffre en milliers d’individus aux Etats-Unis.
L’omerta médiatique commence à se lézarder aux Etats-Unis : la vaccination a pris l’ascenseur, mais la vérité sur l’efficacité réelle des injections et leurs effets indésirables a pris l’escalier, et la voici qui vient frapper à la porte des élections de mi-mandat (ou midterms).
Cette thématique ne pourra être éludée et les communicants de l’équipe Biden ont tout intérêt à détourner l’attention vers la situation économique, même si elle apparaît peu favorable.
Des mesures de soutien au pouvoir d’achat vont être dévoilées au cours des prochaines semaines, les démocrates vont pouvoir jouer à fond la carte de « l’Etat protecteur »… ce même concept qui a conduit à la vaccination à outrance (gare à l’effet boomerang).