▪ La déflation du crédit (qui est une bonne chose) peut s’accompagner d’une hausse des prix, nous prouve la Grande-Bretagne.
La Perfide Albion, économie financiarisée à l’extrême et lourdement endettée est notre laboratoire du pire.
La Bank of England s’est lancée dans une course folle au yoga mortel, les mesures d’assouplissement monétaires ou quantitative easing consistant à racheter les obligations souveraines. Il s’agit d’une inflation de la masse monétaire par création de monnaie à partir de rien.
Mais même de l’argent créé à partir de rien ne trouve pas preneur et on constate une diminution du crédit, comme le prouvent les deux graphiques suivants :
<img height="332" width="460" border="0" alt="Le VIX, indice de la volatilit