▪ C’est la Lutte Finale des Etats-Providence… la Guerre des Zombies.
"La Grèce paralysée alors que les travailleurs font à nouveau grève", rapporte le Wall Street Journal.
En France, les zombies passent aussi à l’attaque :
"Les ajustements de retraite de Sarkozy n’apaisent pas les syndicats", continue le Journal.
Le Figaro annonçait parallèlement que les syndicats allaient imposer leur point de vue par la force. La grève commence aujourd’hui… et ils ont juré de s’y tenir jusqu’à ce que le gouvernement recule.
▪ Les zombies veulent toujours plus d’argent du gouvernement… plus d’avantages… plus de privilèges… plus de tirage au flanc. Ils veulent quelque chose en l’échange de rien. Ils veulent continuer à vider le sang de l’économie active et productrice de richesse…
Les créateurs de richesse sont dépassés. Repoussés. On les chasse du pouvoir et on les chasse tout court. Mais plus on les élimine, moins les zombies ont de ressources pour vivre.
En fin de compte, les systèmes complexes finissent toujours par exploser. Ils deviennent de plus en plus difficiles à soutenir… et de moins en moins efficaces. Vers la fin, ils se transforment en systèmes dans lesquels on détruit de la valeur, comme l’ancienne Union soviétique ou peut-être l’Empire romain dans ses derniers jours, consommant plus qu’ils ne produisent, jusqu’à ce que, finalement, ils ne puissent continuer.
Tous les empires s’effondrent. Ils sont généralement envahis par les zombies… petit à petit. Progressivement, ils se transforment en sociétés dégénérées détruisant de la richesse. Ils sont ensuite vulnérables — soit aux barbares de l’extérieur, soit aux zombies de l’intérieur. Voire aux deux. Dans un cas comme dans l’autre, les guerres contre les zombies se terminent toujours par la mort de la culture zombie elle-même. Les systèmes complexes envahis par les zombies sont remplacés par des systèmes plus simples, avec moins de parasites.
Les barbares ne se brossent pas nécessairement les dents. Mais au moins, ils ne vous font pas remplir plein de formulaires.