La Chronique Agora

Un week-end paisible en perspective… non ?

investissement, Etat

Un week-end paisible s’annonce. Il fait beau, les insectes recommencent à bruire, la sève est montée dans les arbres, les feuilles sont là qui en témoignent. Malgré les interventionnistes, le printemps est là.

Personne ne vient troubler la quiétude de cette belle journée.

Personne ?

Bon, oui, c’est vite dit. Je ne sais pas trop ce que c’est que la « transition écologique » mais je vois très bien ce que sont les éoliennes ruineuses dont l’efficacité n’est plus douteuse mais avérée : elles fournissent moins de 3% de l’électricité dont nous avons besoin, une fourniture intermittente et aléatoire confirmée par l’European Network of Transmission System Operators for Electricity (ENTSOE). Après avoir englouti de gigantesques subventions depuis 15 ans, les éoliennes produisent peu et mal.

Plutôt qu’un « projet en commun » écologique, je préfère vous parler d’un projet individuel bucolique : l’investissement en foncier forestier. Bill Bonner a sauté le pas cette semaine.

Il existe beaucoup d’argument pour cet investissement. Il n’est pas à la mode, les prix du bois commencent à remonter, nous ne sommes pas à l’abri du retour de l’inflation.

Par ailleurs, le bois commence à faire son retour dans la construction. Les écologistes se sont aperçu que c’était un matériau doté d’atouts. Notez bien que si les habitats nordiques traditionnels étaient en bois, ce n’est pas parce que ces régions manquaient de pierre mais parce que le bois est un excellent isolant.

Bref, vous aussi, vous pourriez considérer avec profit un tel investissement — et pour vous aider, nous y avons consacré un Rapport entier.

Les propriétaires forestiers sont unanimes : le plaisir de cet investissement est incomparable. « C’est quand même plus amusant qu’une OAT à 10 ans », m’a confié ma mère la dernière fois qu’elle est allée voir ses douglas de 75 ans, qu’elle appelle « mes diamants noirs ».

Ce Rapport couvre mêmes les questions juridiques et fiscales que devraient connaître tout investisseur avisé. Car, oui, nous sommes en France : il existe donc un « code forestier »… mais vous aurez un motif pour vous consoler de l’inflation juridique et paperassière de notre pays. Le petit bois trouve des débouchés dans la pâte à papier.

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