« Chaud… Très chaud… Très très chaud »…
La canicule règne en France. Notre voisin agriculteur n’aurait pas eu besoin de nous le signaler.
Les jours sont clairs et ensoleillés. Dans notre région, la température passe de 21°C le matin à 35°C l’après-midi.
Très inhabituel à cette époque de l’année.
« Mieux vaut un mal connu qu’un bien à connaître » — vraiment ?
En ce qui nous concerne, nous nous occupons 24h sur 24 de notre épouse invalide — qui est désormais de retour à la maison avec des côtes fêlées, incapable de bouger.
Nous sommes à l’étage, dans la chambre — les volets fermés pour nous protéger de la chaleur –, à prendre quelques minutes pour écrire ces lignes…
… Mais sans rien d’important à dire.
Chaque jour, nous regardons les gros titres dans la presse… nous réfléchissons à ce qui se passe dans le vaste monde… et nous tentons de relier un point ou deux.
C’est probablement la même chose dans votre vie.
Vous vaquez à vos affaires. Vous avez du travail à faire. Des projets… des buts… des délais. Vos priorités. Vos investissements. Votre emploi du temps. Votre plan.
Et vous réfléchissez, aussi — des réflexions importantes sur les élections présidentielles… sur l’insécurité… sur l’état du pays… et du monde.
Est-ce que Trump ferait vraiment un meilleur président que Clinton ?
Madame Clinton est de toute évidence le « mal connu ». Mais quel genre de filou est Donald Trump ?
Personne n’en sait rien.
Elections US : Le Deep State aux commandes
En ce qui nous concerne, nous gardons l’esprit ouvert. Mais nous soupçonnons que, qui que soit le vainqueur, la plupart des Américains seront déçus.
Le ou la prochain/e président/e pourrait faire des changements marginaux, en grande partie symboliques. Mais imaginez que Trump soit élu.
Le Congrès US mettrait-il de côté sa vanité sordide et sa démagogie insipide pour se rallier à lui ? Approuverait-il vraiment les nouvelles lois demandées ?
Les lobbyistes rentreraient-ils chez eux ?
Les fonctionnaires, apparatchiks, charlatans et poltrons de Washington accepteraient-ils de soutenir la nouvelle administration destinée à « rendre sa grandeur à l’Amérique » ?
Les agences fédérales cesseraient-elles de mettre en place des réglementations chicanières pour profiter à un groupe d’intérêt ou un autre ?
Les renflouages, subventions et privilèges prendraient-ils fin ? Les compères perdraient-ils leurs sinécures ? Les zombies devraient-ils se trouver un vrai travail ?
Qu’est-ce qui changerait vraiment ?
Les soins de santé ? L’éducation ? La guerre ? La bureaucratie ? Les impôts ?
La reine de l’establishment
Le New York Times a récemment envoyé un journaliste couvrir la visite de Donald Trump aux mines de charbon de Virginie de l’ouest.
Les mineurs au chômage le soutiennent. L’un d’entre eux a affirmé que le candidat républicain « pourrait être notre seul espoir ».
Espoir de quoi ?
Oui, évidemment, les mineurs sont en mauvaise position.
Hillary, la reine de l’establishment, a même dit qu’elle aggraverait leur situation.
Le Deep State — avec ses millions de parasites, d’escrocs, de tire-au-flanc, de compères et de zombies — ne produit pas de richesse. Il ne peut que s’enrichir (par rapport au reste de la population) en prenant le bien des autres.
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Pour accorder une subvention à l’énergie solaire d’Al Gore, il doit prendre de l’argent au reste de l’économie.
Pour renflouer les banques, il faut que quelqu’un débourse la somme.
Et s’il construit des avions, des bombes et des drones — les sous-traitants s’enrichissent, mais quelqu’un doit payer.
Qui va rebattre ce jeu de cartes ? Et de quelle manière ?
Donald Trump ?
La presse rapporte que l’économiste Judy Shelton fait partie de ses conseillers… et qu’elle est en faveur d’un retour à l’étalon-or. Si Trump est élu, pourra-t-elle réformer le système monétaire ?
Hmmm…
Vous étudiez ces éléments… vous pensez à toutes ces choses — sur l’argent et la politique… la guerre et la paix… le progrès et la civilisation…
Et puis quelque chose se produit : quelqu’un dans votre famille tombe malade… un divorce… un accident…
Soudain, ces soucis ne semblent plus si importants.
Peut-être ne l’ont-ils jamais été, d’ailleurs.