La Chronique Agora

« Ils » veulent nous voler notre liberté et notre argent

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Lorsque cela devient important, vous devez mentir
– Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, en avril 2011

« Ils » veulent nous voler notre liberté et notre argent. Aujourd’hui, nous avons besoin de vous.

Le Brexit a été une claque magistrale.

Comme vous le sentez bien (si j’en juge par vos réactions) le Brexit est plus important sur le plan politique qu’économique.

Le Brexit propage la méfiance envers une certaine élite qui, tout en jurant la main sur le coeur un indéfectible attachement à la démocratie, n’aime pas le « peuple qui vote mal ».

Le Deep State au centre de nos préoccupations

Si vous avez lu nos chroniques de cette semaine, ainsi que celles de Bill Bonner, vous savez que le Deep State est au centre de nos préoccupations actuelles.

Il ne s’agit nullement d’une théorie du complot. Tout est là, visible sous notre nez, et le Deep State ne se cache pas, bien au contraire : il occupe très majoritairement la scène médiatique.

Voici ce qu’expliquait Nomi Prins, avec qui Jim Rickards travaille dans Intelligence Stratégique pour dénouer les fils américains du Deep State :

Considérez que le gouvernement, la banque centrale et les dirigeants des grandes banques privées sont associés, que chacun d’entre eux dirige une division, et que tous réunis, ils dirigent le monde entier. Il arrive que des luttes intestines et des conflits internes se produisent. Mais l’objectif, c’est d’exercer une influence extérieure sur les évènements du monde.

Ces personnalités autoproclamées prennent des décisions qui façonnent des réalités économiques dans le monde entier. Mais cela n’a rien à voir avec X-Files. Il ne s’agit ni de sociétés occultes ni de conspirations secrètes visant à dominer le monde. Ce serait une vision des choses bien trop simpliste et sinistre.

Certes, les élites du monde se réunissent dans des endroits lointains et huppés. Certes, elles se parlent au téléphone et ne côtoient pas de vulgaires mortels. (Certaines ne conduisent même pas leur propre voiture). Mais en pratique, et comme par hasard, tout groupe d’individus appartenant à l’élite – qu’il se réunisse ou non, qu’il forge des plans ou non – opère de telle sorte que son pouvoir grandisse sans arrêt et qu’il soit préservé.

Ils ne le font pas forcément exprès, mais plutôt pour des questions d’intérêts politiques et financiers, de statut, de fonction, d’héritages, de lignées et de relations familiales historiques s’étalant sur des décennies. Pour eux, c’est naturel. »

Vous l’avez compris en Europe aussi, leur but est d’influencer les décisions pour garder la main sur :

… ce qui leur permet de garder leur place et d’augmenter leur pouvoir.

Mais voilà, toutes ces belles créations sont menacées par une nouvelle crise bancaire, encore plus grave qu’en 2008. L’Union européenne, l’euro, le système monétaire international… ce sont des créations compliquées, technocratiques, très difficiles à comprendre pour celui qui vaque à ses affaires et essaie de gagner honnêtement son argent ou de placer de façon avisée son épargne. La monnaie est devenue incompréhensible.

Chacun se demande, pensif, comment des taux d’intérêt peuvent être négatifs. L’argent, le vrai, ne devrait-il pas rapporter quelque chose plutôt que de coûter à celui qui l’a ?

Cette absurdité des taux négatifs dérive de la volonté de vouloir contrôler le loyer de l’argent au lieu de laisser librement l’offre et la demande équilibrer le prix.

Elle dérive du « créditisme », un système selon lequel les banques ont le droit de créer de l’argent à partir de rien, argent qui rentre en concurrence avec celui qui est adossé à quelque chose (votre travail, des investissements productifs,…).

Ce système d’argent-crédit gratuit ruine les classes moyennes mais profite au Deep State.

Mais si les taux restent négatifs, les gens ne voudront plus laisser leurs dépôts en banque : pourquoi laisser son argent là où on vous le vole ? Les gens risquent de se ruer à leur banque pour y retirer leur cash, précipitant non seulement une crise monstrueuse (aucune banque ne peut supporter un bank run), mais mettant à mal le plan des élites.

Il faut donc limiter l’utilisation du cash, voire l’interdire, pour que les gens n’aient pas besoin de vouloir le récupérer.

Aujourd’hui, cette élite cherche à nous enfermer dans ce système qui l’enrichit et nous appauvrit et prétend interdire le cash, l’usage des espèces. Elle invoque toutes sortes de raisons qui ne font appel qu’à de bons sentiments.

Nous refusons cette privation de liberté, cette privation de jouir comme bon nous semble de notre argent, et cette obligation de devoir être lié à une banque pour toutes nos transactions.

Nous avons donc lancé une Pétition, que nous adressons au Premier Ministre et à son gouvernement.

Tout est expliqué ici.

Si vous ne voulez pas vous faire confisquer votre liberté et votre argent, il est urgent de signer cette pétition.

N’hésitez pas à transférer ce message à tous vos proches.

Merci de votre aide, et bon week-end
Simone Wapler

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