▪ Octobre a peut-être été le meilleur mois pour les actions en 37 ans… mais novembre pourrait être le pire.
Les journaux nous disent que les investisseurs sont très déçus par l’accord européen. Ils pensaient que le problème était réglé, plié, emballé avec un joli noeud de ruban rose. Apparemment, ce n’est pas le cas…
D’abord, les rendements obligataires italiens ont grimpé. Tout à coup, le problème n’était plus résolu du tout. Il était plus considérable que jamais.
Puis les Grecs ont décidé qu’ils allaient devoir s’exprimer sur les nouvelles mesures d’austérité dans le cadre d’un référendum. Vous savez ce que ça veut dire : ils vont voter non. Aucune personne sensée n’accepterait d’abandonner ses biens mal acquis pour qu’ils puissent être redistribués à des investisseurs, des spéculateurs et des banques.
Ambrose Bierce décrivait une élection comme « une vente aux enchères anticipée de biens volés ». Mais les élections actuelles mettent en vente des biens qui n’ont même pas encore été créés… et ne le seront probablement jamais. Une obligation gouvernementale, en réalité, est la promesse que le gouvernement volera assez d’argent pour payer les intérêts et le principal. Les investisseurs ne doutent pas de sa bonne volonté — mais de sa capacité à le faire.
Nous de même. Chaque gouvernement du monde développé est profondément endetté. La plupart des pays ont peu de marge pour augmenter les impôts sans mettre à mal la croissance économique. On ne peut pas extraire beaucoup de sang d’un tas de navets. Lorsqu’il ne reste plus que de la pulpe… il faut trouver une nouvelle source de revenus. Et peu d’électeurs sont prêts à accepter l’austérité juste pour que de riches investisseurs obligataires avides obtiennent ce qui leur a été promis.
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Aujourd’hui, une nouvelle révolution voit le jour — et elle pourrait bien propulser une des pionnières du secteur sur le devant de la scène, avec un potentiel de 525% de plus-value
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Beaucoup font le pari que la Grèce se retrouvera à court de jus dans les mois qui viennent. Les prix des obligations grecques ont chuté si bas qu’on peut désormais acheter des notes grecques à un an avec un rendement de 200%. Si tout va bien, vous doublerez votre argent en un an. Si tout va mal…
… eh bien, à vous de voir si vous voulez prendre le risque !
▪ C’est précisément parce que les investisseurs ne veulent pas prendre le risque que le rendement sur le bon du Trésor US à 10 ans est repassé sous les 2%. Les Grecs pourraient ne jamais rembourser. Les Italiens ne sont peut-être pas dignes de confiance. Et qui sait ce que trament les Français ! Mais on peut compter sur ce bon vieil Oncle Sam. C’est peut-être une canaille et un escroc… mais il a une planche à billets.
De toute façon, au vu de la manière dont les choses se passent, on dirait que le dollar… et la dette gouvernementale US… pourraient être les seules choses sur lesquelles vous pouvez compter. Enfin… jusqu’à ce qu’ils explosent.
Mais nous commençons à penser qu’il pourrait se passer longtemps avant que ce spectacle se termine. Le système financier mondial se traîne d’une crise à l’autre. Les actifs à risque baissent. Les gens cherchent la sécurité du marché obligataire américain. Et les autorités US peuvent ainsi financer leurs déficits à bas prix. Qu’y a-t-il à redire ?
Rien — à part peut-être le fait que tout le monde devient de plus en plus pauvre…