La Chronique Agora

Le bitcoin (et les cryptomonnaies) incompatibles avec les devises d’Etat

BITCOIN ET CRYPTOS = OUT !

Les cryptomonnaies gênent les politiques monétaires des banquiers centraux, conclut une étude de la Federal Reserve de Philadelphie.

La Parasitocratie s’intéresse au bitcoin

La Parasitocratie se penche sérieusement sur le bitcoin.

En effet, une étude d’un économiste de la Philly Fed (la Federal Reserve Bank of Philadelphia), co-signée d’un universitaire vient de sortir.

Et ses conclusions sont très distrayantes.

Pour lire cette étude, cliquez sur l’image ou ici

Voici une traduction à la volée de l’abstract, la synthèse qui figure en tête de ce rapport.

Un système monétaire dans lequel circulent des cryptomonnaies émises par le secteur privé en vue de servir de moyen d’échange, peut-il fonctionner ? Un tel système est-il stable ? De quelle façon les gouvernements devraient-ils réagir aux cryptomonnaies ? La coexistence est-elle possible entre ces monnaies et celles qui sont émises par les gouvernements ? Les crypto-monnaies permettent-elles une allocation [des actifs] efficace ? Voilà quelques-unes des questions de taille que soulève au sein du débat politique actuel l’avènement soudain des crypto-monnaies. Pour y répondre, nous modélisons la concurrence entre les monnaies fiduciaires privées.

Nous concluons qu’un arrangement purement privé ne peut conduire à une allocation d’actifs efficace, même s’il peut conduire à une stabilité des prix dans certaines conditions technologiques.

La concurrence entre devises crée des problèmes pour la mise en place d’une politique monétaire utilisant les méthodes conventionnelles. Toutefois, il est possible de concevoir spécialement une politique réglementaire qui mettrait en place une allocation efficace en éjectant les devises privées du marché.

Nous démontrons aussi qu’un mécanisme spécial peut aboutir à une allocation efficace en introduisant un capital productif.

Largué ? Normal. Mais n’oubliez jamais que la complexité est l’arme de la Parasitocratie. Ça paraît sensé au premier regard mais en observant d’un peu plus près, en fait, non, pas du tout ! C’est absurde, bizarre, inutilement compliqué

Tout est dit dans ce résumé.

Les banquiers centraux veulent le contrôle

Le texte en gras est de moi. Les banquiers centraux veulent le contrôle et estime que la concurrence monétaire entrave leurs « politiques monétaires ».

*** Flash krach, volatilité, nervosité… ***

Un seul mot pour la situation boursière actuelle : PRUDENCE

Découvrez six mesures à mettre en place maintenant pour vous protéger.

Cliquez ici.

Ces politiques monétaires consistent à :

Ces politiques monétaires ne sont pas faites dans l’intérêt du simple citoyen, elles sont faites par et pour servir les intérêts de la Parasitocratie. Cette classe refuse de lâcher le contrôle des registres de dettes, car c’est ce contrôle qui lui confère son pouvoir.

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