Au cours de leur carrière, Walsh et May ont gagné 50 matches consécutifs. Cela n’aurait jamais dû se produire. Elles n’auraient pas dû être aussi fortes. Elles auraient dû, à coup sûr, subir un mauvais jour, une "correction". Ca n’a pas été le cas, cependant — pas durant 50 matches. Ensuite, elles ont perdu quelques fois, ici et là… mais cette stupéfiante paire de joueuses de volley-ball continue à dominer ses opposantes la majeure partie de temps… et continue à augmenter un nombre quasi-record de victoires. Certaines choses arrivent, même si toutes les probabilités semblent s’y opposer.
Eric J. Fry
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Warren Buffett vient de s’acheter un train ! Pas un petit train électrique à monter en kit en tête-à-tête avec son fils… mais bien un train grandeur nature — le genre qui transporte charbon et maïs de par les vastes prairies américaines.
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La mère de votre correspondant est née à Venice, en Californie, en 1923. A l’époque, ce complexe balnéaire comptait encore des canaux, des gondoles importées et des stars de cinéma. Mais peu après l’entrée de notre mère à l’école primaire Florence Nightingale, la société Ohio Oil Co. a trouvé du pétrole dans la péninsule de Venice (appelée aujourd’hui Marina Peninsula).
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L’un des meilleurs moyens de devenir vous aussi "l’argent intelligent", c’est d’analyser celles de vos transactions qui ont échoué. Quelqu’un a agi intelligemment de l’autre côté de votre position. Pour apprendre à devenir un meilleur investisseur, commencez par vous demander : "bon, qu’est-ce qu’il a fait de l’autre côté de cette transaction ? Comment a-t-il su ?"
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Dans la mesure où les investisseurs professionnels peuvent emprunter de l’argent en yens à des taux d’intérêt de moins de 1% par an, ils le font. Ils empruntent l’équivalent de centaines de milliards de dollars en yens, puis achètent toute action, obligation, matière première ou produit dérivé susceptible de produire plus de 1% de revenu par an… et bien plus, de préférence. Cela s’appelle le carry trade.
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Les marchés haussiers et baissiers peuvent sembler anormalement bons ou mauvais tandis qu’ils se développement, mais ils contribuent tous à la mosaïque de ce que nous considérons comme la "normalité". Voilà pourquoi "normal" est une épithète dangereuse… à laquelle il ne faudrait jamais faire confiance. On ne sait jamais quel visage cette créature schizophrène nous présentera (en fait, nous nous inquiétons du fait que le marché est sur le point de nous livrer une version de la normalité que bien peu d’investisseurs apprécieront).
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Peu importe le nombre de fois — ou la manière — dont les individus informés décrivent la triste condition du marché de l’immobilier US, des millions d’Américains refusent de le croire. Soit des millions d’Américains ne peuvent accepter la vérité… soit la vérité n’a pas d’importance. Au lecteur de décider…
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La valeur, comme la beauté, est dans l’œil de celui qui contemple… et ces derniers temps, une population croissante de "contemplatifs" trouve de la valeur dans les perspectives de long terme pour les énergies alternatives — principalement les énergies éoliennes et solaires.
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"Les signes annonciateurs d’une correction boursière flottent au-dessus de nos têtes comme un vol de pigeons au-dessus d’une voiture de sport fraîchement lavée", observe notre collègue Jeff Clark, rédacteur du Short Report. "Pourtant, les investisseurs ne se soucient pas de remonter la capote de leur cabriolet".
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La pluie tombe sur les riches comme sur les pauvres. C’est symétrique. Mais une fois la pluie tombée, les riches en reçoivent un bien plus large part que les pauvres. C’est asymétrique. En fait, certains riches détournent autant d’eau que possible vers leurs réservoirs personnels… même s’ils en ont déjà bien plus que nécessaire. C’est de l’avidité.
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– Lorsque nous humidifions notre index virtuel et l’élevons dans les airs, nous découvrons que les vents monétaires mondiaux soufflent contre le dollar. Pour commencer, le déficit courant américain, qui dépasse 800 milliards de dollars par an, se monte au chiffre alarmant de 7% du PIB. Ce pourcentage élevé dépasse des niveaux qui ont condamné bon nombre de devises mineures par le passé.
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L’année dernière, le marché a glissé de 1,4% entre le 13 décembre et Nouvel An. Ne pourrait-il pas chuter à nouveau cette année ? Si, bien entendu. Mais 73 ans ont passé depuis la dernière fois où le marché a trébuché deux fins d’années de suite. Durant la Grande dépression — en 1932 et 1933 –, les marchés boursiers américains ont produit de légères pertes entre le 13 décembre et la fin de l’année.
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Pour commencer, il faut savoir que les prix du gaz naturel sont extrêmement saisonniers, et dépendent beaucoup de la météo. Nous avons eu un hiver clément, l’an dernier — si bien qu’il restait beaucoup de réserves de gaz au printemps. C’est un peu comme lorsqu’on achète beaucoup de bière et de vin pour une fête… et que les gros buveurs ne viennent pas. En plus de cela, aux Etats-Unis, il n’y a pas eu de tempêtes notables cette année.
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Les mineurs achètent des mineurs. 100 milliards de dollars de fusions et acquisitions ont balayé l’industrie minière à ce jour cette année. Cette "ruée vers l’or" sur les marchés pourrait donc faire grimper les prix des actions plus que le prix de l’or lui-même. Et Michael Martin, spécialiste des actions minières chez R.F. Lafferty à New York, pense que la ruée vers l’or de Wall Street est loin d’être terminée.
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"Nous concluons qu’un déclin des prix de l’immobilier est en cours", remarquait récemment le Grant’s Interest Rate Observer. "Si le marché de l’immobilier, comme le marché boursier, revenait à la moyenne, la vague de ventes pourrait aller loin. Un retour à la ligne de tendance post-1968 impliquerait une chute de 22%. Ce qui, bien entendu, pour un pays centré sur l’immobilier comme les Etats-Unis, entraînerait un désastre".
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Sans crédit facile — et en grande quantité — l’immobilier de la Californie n’aurait jamais atteint ces valorisations historiques. Le crédit n’a pas seulement permis aux accédants à la propriété de dépasser un peu leurs limites, il a également favorisé et enhardi les acheteurs spéculatifs, les acheteurs de résidences secondaires, les constructeurs de résidences secondaires et toute autre variable de participant/spéculateur immobilier.
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"Nous avons vécu le plus grand boom immobilier de l’histoire de ce pays", explique Robert Shiller, professeur à l’université de Yale. "Cela ne peut durer éternellement… Je pense que ce boom est si conséquent que nous verrons une baisse substantielle qui affectera le pays dans son ensemble… Nous ne sommes pas [automatiquement] voués à un déclin spectaculaire, mais je pense que c’est néanmoins probable".
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Nous avons demandé la semaine dernière à nos lecteurs américains de nous donner leurs meilleures idées d’investissement dans le secteur de l’eau. Aujourd’hui, voici un petit échantillon de leurs réponses…