Le prix de l’or a largement triplé depuis 2001, quand une once ne coûtait encore que 300 $ environ (vous vous en souvenez ? Ah, c’était le bon temps !). Depuis un an à peu près, l’or est resté stable, dans la tranche des 900 $, 980 $. Il grimpe un peu, baisse un peu. A ce niveau, la situation de l’or n’est pas encore dramatique. Nous n’avons pas vu de mouvement important dans un sens ou dans l’autre. Mais les grande vagues vont se produire un jour
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Les pertes d’emploi se sont accélérées dans l’industrie, contrairement au tertiaire qui connaissait un ralentissement des compressions d’effectifs. Nous étions intimement convaincu que les chiffres de l’emploi américain n’auraient pas d’impact décisif sur les cours de bourse cette fois-ci : si l’optimisme avait prévalu, les indices boursiers n’auraient pas commencé par chuter
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Ces derniers jours, le prix de l’or a grimpé de plus de 40 $. Il est désormais proche des 1 000 $. Pourquoi ? Nous n’en savons rien. Des rumeurs, des discussions, du bruit… ça ne manque pas. Mais quant à la raison pour laquelle les investisseurs investissent soudain de telles quantités dans l’or, nous devrons attendre pour la découvrir
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Epargne
Tenté par le métal argent ? Vous n'êtes pas le seul !
par emmanuelgentilhomme 4 septembre 2009Les ETF de métal blanc concentrent 332 M oz (ou 11 396 tonnes), ce qui correspond à 40% d’une offre globale d’argent de 888 M oz en 2008, selon GFMS. En appliquant le même calcul, les ETF aurifères concentrant actuellement 52% de l’offre d’or de 2008. Plus jeunes, les ETF argentés ont à coeur de rattraper leur retard
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La plupart des médias annoncent la sortie de crise. Le consensus pense aussi que les perspectives d’inflation sont écartées. Du coup, l’or a reflué sous 940 $ l’once à la fin du mois de juillet, avant de se ressaisir lorsque le dollar a donné des signes de faiblesse. Le prix de l’once devrait maintenant évoluer au gré de la parité du dollar vis-à-vis des principales autres monnaies fiduciaires, et de la peur
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Quel est le bon moment pour acheter de l’or ? Ceux qui ne me posent pas cette question me demandent alors : faut-il acheter des actions minières ou de l’or ? Depuis un an, j’affirme que le prix de l’or est davantage influencé par les Commodity Trading Advisors, à qui les investisseurs sortis des hedge funds peu liquides après la débâcle de 2008 ont confié une partie de leur argent
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L’été est terminé. Il ne s’est rien passé de frappant sur les marchés ces derniers jours — sinon que le prix de l’or a grimpé. Le métal jaune semble prêt pour attaquer une nouvelle fois les 1 000 $. Y parviendra-t-il ? Peut-être que oui, peut-être que non
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Nous pensons que la tendance haussière est loin d’être brisée pour trois raisons principales. Car le désordre monétaire mondial est tel que l’or va se remonétiser et apparaîtra comme le seul étalon de mesure fiable de la dérive des monnaies fiduciaires. Jusqu’à ce que tout rentre dans l’ordre
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S’il plaît à certains d’être pessimistes sur l’or ; nous, nous ne sommes pas de cet avis. Et pour cause : l’inflation explosera en hyperinflation dans quelques années. S’il est exact qu’elle ne menace pas de façon imminente, nul ne peut prédire quand l’hyperinflation produira ses effets. Et elle arrivera de façon aussi brutale que l’éclatement d’une bulle
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Côté européen, tout baignait hier : le CAC 40 a terminé à un plus haut de 10 mois, s’adjugeant 1,01% pour terminer à 3 652,17 points. Le Footsie londonien a grimpé de 0,93%, tandis qu’à Francfort, le DAX prenait 1,03%. Le Vieux Continent surfait visiblement sur les bonnes statistiques publiées ces derniers jours. Mais de l’autre côté de l’Atlantique… c’était autre chose
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Actuellement, la surcapacité et l’excès d’offre causent une chute des prix. La baisse des prix entraîne une hausse de la valeur des devises. Chaque unité de "monnaie" achète plus de choses. Mais il y a beaucoup de devises en concurrence, et elles ne grimpent pas et ne baissent pas ensemble. Certaines devises subissent plus la déflation que d’autres. Et bien entendu, le dollar est la principale devise de la planète
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Epargne
Rions un peu : intéressons-nous au déficit budgétaire américain
par Françoise Garteiser 20 août 2009Rien ne vaut de commencer la journée par un bon éclat de rire — et je peux remercier le gouvernement américain pour m’avoir offert celui de ce matin. Le déficit fédéral ! Il y a de quoi se tordre : l’administration américaine prévoit apparemment un déficit plus limité qu’attendu, en 2009. Mais quand même ! On attendait un "trou" de 1 840 milliards de dollars — il ne sera finalement que de… 1 580 milliards. N’est-ce pas magnifique
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Quasiment tout le monde s’attend à une hausse de l’inflation. La base monétaire ajustée des Etats-Unis a plus que doublé au cours de l’année passée. Les déficits sont vertigineux. Le pétrole nous dit que les pressions inflationnistes n’ont pas disparu. L’or aussi semble murmurer — mais non crier — un avertissement : soyez prudent
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Les mois se succèdent et l’or déçoit… les nouveaux venus. Cependant, depuis le début de l’année, la performance de l’or reste positive : +4,38% en euro et pratiquement la même chose en dollar. En revanche, les indices des marchés actions ont perdu plus de 7% de recul depuis le mois de janvier en France et aux Etats-Unis
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Les actions aurifères en ont pris un coup, comme la plupart des autres couvertures classiques contre l’inflation. Pourquoi ? Parce que la peur de l’inflation s’est calmée. La vision déflationniste du monde est maintenant celle qui prédomine. C’est la raison pour laquelle les rendements des bons du Trésor américain à 10 ans ont chuté
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Notre foi vacille. Notre foi dans le fait que, tôt ou tard, le gouvernement américain réussira à causer de l’inflation. Revoyons notre prévision : la déflation maintenant, l’inflation plus tard. C’est très simple. Peut-être trop simple. Après un demi-siècle d’expansion de crédit, nous avons désormais une contraction du crédit
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Epargne
Minières, or physique ou certificats : achetez de l'or selon votre profil d'investisseur
par Simone Wapler 6 juillet 2009Si vous achetez de l’or pour spéculer, tout est bon : certificat à effet de levier, minières… En revanche, si vous achetez de l’or pour abriter une partie de votre patrimoine, le meilleur support est l’or physique ou celui qui en est le plus proche. La spéculation recherche l’effet de levier, mais augmente le risque. Il existe un certificat "turbo infini" qui se propose de répliquer deux fois la performance de l’or. Comme tout certificat, celui-ci vaut autant que la signature de son émetteur
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Les anxieux de la parité euro/dollar, ceux qui craignent que la baisse du dollar plombe la montée de l’or, ont ici une preuve supplémentaire que ce n’est pas le cas. L’or a baissé de 4% en dollars et de seulement 2,60% en euros. Dans le même temps, le dollar a progressé de 3,6% par rapport à l’euro. Depuis le début de la grande tendance haussière de l’or, l’or monte lorsque le dollar flanche