Pourquoi le retour à la normale n’est pas pour demain
L’inflation « transitoire » reste persistante alors que les investisseurs sont à la recherche de la prochaine catastrophe…
L’inflation « transitoire » reste persistante alors que les investisseurs sont à la recherche de la prochaine catastrophe…
« L’atterrissage en douceur » est un mythe qui va finir par disparaître sous le poids de la réalité. Les interventions des banques centrales ne font qu’ajouter au problème.
Les dettes de BlackRock, le pivot de la Banque d’Angleterre et la folie des faux taux…
Comme le krach de 1987, la crise actuelle n’est probablement pas le dernier soubresaut avant l’effondrement du capitalisme. C’est toutefois un signe que quelque chose vacille.
Tel un bouillon infernal porté à ébullition… la potion de la Fed est à l’origine de toutes sortes de diaboliques distorsions.
Les stratégies d’investissement des caisses de retraite ne fonctionnent plus vraiment quand les taux d’intérêt des obligations d’Etat augmentent.
En Angleterre, le chaos financier devient un chaos politique. La crise pourrait cependant de nouveau virer au krach… un krach qui ne s’arrêtera pas à la frontière.
Oubliez HODL, TINA et YOLO… voici l’acronyme qui correspond le mieux à notre époque…
Si les banques centrales veulent vraiment aller au bout des choses, plusieurs solutions existent. Aucune ne sera très agréable pour les marchés…
Les marchés n’ont pas bien réagi aux dernières communications de la Fed. Les obligations d’Etat, en particulier, atteignent des rendements record. Pour l’ancienne présidente de la Fed, toutefois, aucune correction n’est à prévoir…
L’injection de liquidités par la Banque d’Angleterre a réussi à retarder le krach sur les marchés. Cela rappelle les grandes heures des interventions de la Fed, en 2007-2008.
Les marchés vivent actuellement un krach, mais nous n’en sommes peut-être qu’au début des hostilités. La Fed pourrait très vite aggraver la situation.
Alors que la chute des Bourses se poursuit, certains médias se demandent jusqu’où elle ira. Pour nous, ce n’est qu’une partie de la question…
La City de Londres respire encore, mais elle a le souffle court : le choc qu’elle a vécu est plus important que celui qui avait touché la Grèce et lancé la crise des dettes souveraines en 2010.
Les marchés sont déjà amochés… mais la vraie douleur reste à venir.
La seule raison qui empêche les marchés de dégringoler, entraînant toute l’économie dans leur chute…
Jerome Powell affirme qu’il n’existe pas de méthode agréable pour faire baisser l’inflation. Réaction sur les marchés : on se bouche les oreilles !
Les Publications Agora ont réuni au Château de Courtomer une quarantaine de nos plus fidèles abonnés pour écouter quelques-uns de nos experts… découvrez ce qu’en a retenu l’un deux, Philippe Béchade.