Et si l’économie ne se développe pas à 3% par an ? Ooooh… c’est bien le problème, n’est-ce pas ? Toutes les autorités projettent un retour à la normale. Ils s’attendent à une "reprise". Et s’il n’y avait jamais de reprise ? En fait, la banque centrale d’Australie a annoncé cette semaine être si certaine que tout allait bien qu’elle a fait grimper son taux directeur de 25 points de base
Chine
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Les zombies ont un effet déprimant un peu partout. Les marchés boursiers hésitent. Le pétrole ne fait guère mieux, toujours sous les 70 $. Quant à l’or, il continue de tenir les 1 000 $. Le seuil des 1 000 $ était autrefois un plafond pour le prix de l’or. A présent, il semble plutôt être un plancher
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Le fer aime les plans de relance. Surtout lorsqu’ils portent des fruits. Principaux bénéficiaires ? Le bâtiment et le secteur automobile ; les deux secteurs les plus gros consommateurs d’acier. Or qui dit acier dit fer. Pas d’acier sans fer. Et le plan infrastructures chinois est sans doute celui dont l’impact est le plus significatif
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A quoi ressemblera l’économie mondiale en 2050 ?… Et est-ce que nous devons nous en inquiéter dès aujourd’hui, alors que ce n’est que dans 40 ans ? Le docteur Marc Faber, rédacteur en chef du très sérieux Gloom, Boom & Doom Report, prédit que la Chine sera d’ici là l’économie la plus puissante du monde
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Epargne
Après le temps des bourgeons, voici venue la saison des marrons
par Philippe Béchade 5 octobre 2009Les statistiques de l’emploi américain au mois de septembre ont fortement déçu les investisseurs. Ils ont accusé le coup ; cependant, les places européennes n’ont pas clôturé au plus bas du jour ni de la semaine vendredi dernier. En effet, quelques rachats à bon compte exécutés dès l’ouverture des marchés américains ont permis de limiter les dégâts
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Le mois d’octobre va-t-il se montrer fidèle à sa mauvaise réputation ? L’entame du quatrième trimestre — positive en matinée — semblait démentir les avertissements des oiseaux de mauvais augure… mais la suite des évènements allait apporter son lot de déceptions. Le catalyseur du repli accéléré des cours de bourse, ce fut la publication de l’indice ISM manufacturier
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Il ne s’est pas passé grand’chose ces derniers jours. Certains chiffres étaient encourageants. D’autres pas. C’est un peu comme si un météorologiste prévoyait du blizzard, tandis qu’un autre annonçait soleil et températures élevées. Les investisseurs ne savent plus comme s’habiller
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Aujourd’hui, parlons d’un marché hautement stratégique, et sur le point d’imploser par "assèchement foudroyant". Le marché des terres rares — elles sont au nombre de 15 — est très confidentiel. Vous n’en avez peut-être même jamais entendu parler. Et pourtant, nous ne pouvons nous en passer. Elles sont omniprésentes dans notre vie quotidienne
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Ça ne me dérange pas de posséder du pétrole brut. Bien que nous soyons dans une profonde récession et que le marché du pétrole semble bien fourni, le plus long terme semble plutôt bon pour l’or noir. C’est simple : il devient plus difficile d’en trouver et plus cher d’en produire. Pour illustrer cette idée, jetons un oeil à plusieurs éléments
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La Chine officialise la prévision d’une croissance voisine de 8,5% pour 2009 ; de leur côté, les économistes et stratèges des grandes institutions financières de Wall Street parient sur une reprise en "V" depuis la mi-juillet. Pourtant, nous constatons que le Baltic Dry Index s’inscrit en repli régulier depuis la mi-juin
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Epargne
Les obligations étatiques pâtissent du retour en grâce du risque
par alexandravoinchet 22 septembre 2009L’amour du risque des investisseurs n’est pas pour plaire aux obligations étatiques. L’an passé, la panique boursière avait fait les bonnes heures des emprunts d’Etats, qu’importe leurs taux, tombés alors bien bas. Les investisseurs recherchaient avant tout la sécurité. Le rally des marchés actions a montré le retour des investisseurs vers des titres plus risqués
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Epargne
Votre accès aux marchés des matières premières va-t-il être limité ? (4)
par sylvainmathon 18 septembre 2009Le raisonnement de Jim Rogers est simple : la Chine — qui accapare déjà un tiers de la demande mondiale en cuivre, un sixième du blé, un cinquième du soja — s’intéresse plus que jamais au trading de matières premières […] Par conséquent, les traders ont peut-être raison de ne pas trop s’inquiéter : la régulation, si elle parvient à voir le jour, sera difficile et périlleuse
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L’or a décollé. A la Chronique Agora, nous sommes impressionnés. Mais pas si impressionnés que ça, tout de même. L’or représente la moitié de notre Transaction de la Décennie… que nous avons annoncée il y a près de 10 ans. Nous sommes haussiers sur le métal… nous le sommes depuis très longtemps. Mais les lecteurs semblent se demander ce qui se passe
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Epargne
Vers une reprise "pousse de bambou" ou "pied de buis" ?
par Philippe Béchade 14 septembre 2009Nous assistons à une de ces périodes étranges où l’on peut soutenir une thèse et son contraire… Mais il existe une catégorie d’opérateurs qui ne se laissent pas troubler : il s’agit des acheteurs de métal précieux — l’once d’or a dépassé par deux fois les 1 000 $ l’once ces derniers jours. Et leur stratégie a le mérite de la clarté et de la constance
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Les investisseurs boursiers semblent se réjouir de l’arrivée d’un nouveau grand marché haussier. Etant donné que l’économie se détériore, ils rêvent probablement eux aussi. Le revenu médian des ménages américains a chuté […] Les autorités ouvrent donc la vanne qui empêchait le dollar de rouler tout en bas de la colline. Mais la faiblesse du dollar n’est pas passée inaperçue aux yeux de son plus grand détenteur étranger : la Chine
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L’once d’or a dépassé les 1 000 $ cette semaine. A court terme, rien ne justifiait cet emballement […] Ce qui a probablement mis le feu aux poudres, c’est une petite phrase d’un cacique du parti communiste chinois. Cheng Siwei, est sorti de l’ombre dimanche et a dit que Beijing était "consterné par le recours aux mesures non conventionnelles […] "
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Le marché aurait déjà dû rebondir. Mais il ne l’a pas fait. Il a chuté. Et on est en septembre… un mois dangereux. Sans compter le fait que ce rebond a déjà duré plus longtemps que celui qui a suivi le krach de 29. M. le Marché fait ce qu’il veut, bien entendu. Nous essayons simplement de lire dans ses pensées. Si nous étions M. le Marché, que ferions-nous
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La mauvaise nouvelle du jour, c’est que le secteur privé américain a détruit 298 000 emplois en août, selon le cabinet ADP, alors que les économistes ne tablaient en moyenne que sur 250 000 destructions. Le rythme des suppressions d’emplois tend néanmoins à ralentir par rapport aux 360 000 destructions en juillet. Sous l’effet d’une compression de 7,6% du nombre d’heures travaillées, la productivité hors secteur agricole au deuxième trimestre a effectué un bond historique