7,5%, 7,625%, 8,25% : comment engranger de telles performances ? En investissant dans les obligations d’entreprises, revenues en grâce sur fond de crise du financement. Détenir facilement des obligations en direct n’est pas réservé aux gros portefeuilles. L’assurance vie le permet, avec moult avantages à la clé
La pauvreté à feu doux
Les autorités fédérales ont poussé les tendances de 1980-2020 à des niveaux extrêmes. Comment pourraient-elles exacerber ou modérer les tendances actuelles du marché ?
Pourquoi le prix de l’électricité ne baissera plus (1/2)
Retour de l’or, après 53 ans d’absence
Quand les valorisations des marchés actions gonflent, détenez des actions. Quand elles se contractent, détenez de l’or !
Platine is the new gold ?
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Les actions sont en hausse ; l’emploi est en baisse… Et n’oubliez pas les saisies. Aux Etats-Unis, elles sont 23% plus élevées que l’an dernier… même si elles n’étaient pas aussi épouvantables en septembre que le mois précédent. "La crise des saisies américaines a affecté près de 938 000 propriétés […]", selon Associated Press. Vous parlez d’une économie
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De sérieux doutes commencent à refaire surface au sujet de la santé de l’économie réelle. La palme des pires trimestriels revient à MGIC. Le premier assureur obligataire aux Etats-Unis a publié vendredi une perte trimestrielle de 517,8 millions de dollars, ou 4,17 $ par action contre 1,62 $ anticipés. C’est à comparer avec une perte nette de 115,4 millions de dollars et -0,93 $ par action un an plus tôt
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Un lecteur nous écrivait récemment : "Sur cette ‘crise’ qui ne peut que finir par être reconnue comme dépression ainsi que vous le dites, je m’étonne que personne n’ait donné, en ce qui concerne les flots de liquidités déversés, l’image suivante : ‘on soigne une cuite par une cure sans fin de boissons alcoolisées’." Eh bien, c’est à mon avis une image tout à fait parlante de la situation actuelle… au moins aussi parlante que celle mon collègue Dan Denning à propos d’un malade avec un coeur en sale état
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Le coût marginal moyen pour produire 84 millions de barils de pétrole par jour — la demande actuelle — est de 70 $ par baril. En d’autres termes, si le prix du pétrole passe au-dessous de ce niveau et y reste un certain temps, la production marginale devient coûteuse… ce qui signifie que la production va certainement chuter
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Epargne
L'étau se resserre. Nous sommes pris à la gorge. L'opportunité est unique
par Isabelle Mouilleseaux 16 octobre 2009La Chine a toujours inondé la planète de terres rares. Mais aujourd’hui, c’est fini. La Chine veut les garder pour elle, et elle réduit massivement ses exportations. En 2004, elles s’élevaient à 60 000 tonnes. En 2007, elles ont été limitées à 40 000 tonnes. Soit une baisse de 33%
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Epargne
Consommation : les prix cassés sont plus efficaces que les chèques gouvernementaux !
par Philippe Béchade 16 octobre 2009Le Dow Jones semblait vouloir s’installer pour de bon au-dessus de la barre des 10 000 points jeudi soir après avoir cédé jusqu’à 0,4% au cours des premiers échanges. Les transactions hors séance préfiguraient une nouvelle progression de Wall Street, mais la publication des trimestriels de Goldman Sachs et Citigroup a déclenché des ventes de "fait accompli"
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Selon le International Herald Tribune, les profits de la banque JP Morgan sont un nouveau signe de reprise majeure. Les investisseurs semblent être du même avis. "L’optimisme sur les revenus" nourrit les achats, selon un courtier. Mais est-ce vrai ? L’économie réelle est-elle en train de croître, de se développer et de gagner de l’argent
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Que vous soyez trader et souhaitiez spéculer sur les taux d’intérêt ou que vous prévoyiez d’acheter un bien immobilier, vous vous posez la question : quand ces taux vont-ils remonter ? Car il s’agit de se positionner pour gagner de l’argent, ou du moins éviter la boucherie pour celui qui se retrouve du mauvais côté de la transaction
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L’or bat de nouveaux records ; cette semaine, il a dépassé les 1 065 $. "Pourquoi si haut… si vite ?" Telle était la question que nous nous sommes posée durant notre réunion d’analystes. "Durant le dernier grand boom de l’or, celui-ci suivait l’inflation… et la banque centrale. Les investisseurs voyaient l’inflation augmenter. Et ils voyaient que la banque centrale ne réagissait pas assez rapidement. Ils ont acheté de l’or pour se protéger. Mais alors, de quoi ont-il peur aujourd’hui
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Les chaînes d’information économiques anglo-saxonnes ne trouvaient pas de typographies assez grosses ni assez criardes pour illuminer les écrans d’un : "le Dow Jones retrouve les 10 000 points" ce mercredi… A croire que les responsables de la post-production allaient eux aussi toucher une prime d’objectif. Depuis quelques jours, le bruit circule que ce serait le cas pour certaines équipes de traders de grandes banques
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Voici un petit élément intrigant. On a appris cette semaine que les dépenses de consommation, en tant que pourcentage de l’économie américaine, ont grimpé jusqu’à frôler les 71%. Non mais attendez juste une petite minute. Comment les dépenses de consommation peuvent-elles grimper
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Je discutais récemment avec un ami des émissions de CO2, de l’effet de serre qui en découle et des changements climatiques que tout ceci pourrait bien engendrer pour notre planète. Ceux d’entre vous qui me lisent régulièrement le savent : toutes ces problématiques me tiennent à coeur. Travaillant dans l’industrie automobile, mon ami n’en finissait pas de me parler de la voiture hybride, dont le marché croît actuellement à toute vitesse
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Epargne
Dommage que les profits d'Intel soient encore libellés en dollars !
par Philippe Béchade 14 octobre 2009En Europe, peu d’éléments apparaissent susceptibles de soutenir les cours du pétrole. Il recule de -1,7 point à 56, alors que les économistes tablaient en moyenne sur une petite hausse vers 58 ; il aurait ainsi pu dépasser ses meilleurs niveaux depuis avril. En conclusion, et contrairement à une théorie largement répandue dans les salles de marché à Wall Street, ce n’est pas la croissance qui fait grimper l’or noir
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Epargne
Les plans de relance, une bonne thérapie pour la croissance ?
par Dan Denning 14 octobre 2009Voilà notre diagnostic du corps politique australien : Wayne Swann est un mauvais docteur. Le week-end dernier, Wayne Swann a dit que "la baisse du nombre d’heures de travail restait un signe fort de demande collective insuffisante dans l’économie". "C’est pourquoi", a-t-il dit : "il est trop tôt pour supprimer le plan de relance"
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Partout dans le monde, c’est la course aux nouvelles terres — qui a même donné naissance à un nouveau terme, comme nous l’expliquions hier : le land grab. Aujourd’hui, nous voyons un phénomène qui lui est intimement lié… "Les achats n’étaient pas tant à propos de la terre que de l’eau. Avec la terre, vient le droit de ponctionner l’eau […]", explique Peter Brabeck-Letmathe, président de Nestlé, qui parle même de water grab
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Actuellement, nous observons une nouvelle poussée haussière du baril de pétrole vers 73,5 $ le baril. Wall Street s’est aussitôt réjouie, car l’explication ne peut être que l’anticipation d’une forte reprise économique, d’abord dans les pays émergents, puis en Occident. Il ne saurait s’agir d’une montée de la défiance vis-à-vis du dollar alors que de nombreux états américains sont en faillite et que les plans de relance ne parviennent manifestement pas à y remédier
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Epargne
Le crédit à la consommation en chute libre : la croissance est-elle possible aux Etats-Unis ?
par Bill Bonner 13 octobre 2009Le crédit à la consommation chute à pic aux Etats-Unis. Qu’est-ce que ça signifie exactement ? Que les Américains n’empruntent pas… et qu’ils n’achètent pas non plus. Le New York Times s’en est aperçu le week-end dernier : "les Américains cessent d’acheter ; les déficits commerciaux déclinent", disait un article. C’est ce que nous répétons depuis deux ans, à la Chronique Agora. Les Américains doivent réduire leurs dépenses