Les chiffres annoncés par la Chine confirment ce qu’on voit dans la rue. Le mois de mai est la haute saison de l’achat d’or en Chine, puisque c’est en général le mois des mariages. Malgré tout, les ventes d’or ont augmenté de 70% par rapport à l’année dernière, et la vente de lingots a également doublé en un an, selon CCTV, la chaîne de télévision nationale chinoise
Pourquoi le prix de l’électricité ne baissera plus (1/2)
La nouvelle augmentation significative des tarifs de l’électricité reflète une tendance inflationniste durable, contrairement à ce que prône le gouvernement…
Retour de l’or, après 53 ans d’absence
Quand les valorisations des marchés actions gonflent, détenez des actions. Quand elles se contractent, détenez de l’or !
Platine is the new gold ?
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Pékin dément que l’article du Financial Times reflète les véritables intentions de la Chine. Fort bien… mais si les journalistes ont bien fait leur travail et repris des propos autorisés (nous ne doutons pas qu’ils le soient), que s’est-il passé ? S’agit-il d’une manoeuvre délibérée ? Dans quel but
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Comme la plupart d’entre vous l’auront constaté, les craintes sur la monnaie unique ont occasionné des réactions très différentes des investisseurs selon les pays — leur situation budgétaire et financière étant assez dissemblable. Ainsi, depuis le début de l’année — en moins de six mois donc –, l’indice espagnol (IBEX 35) a perdu 22% tandis que son homologue français (CAC 40) n’en a perdu que -12,8% et son équivalent allemand (DAX 30) seulement -2,5% !
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"Augmentations d’impôts. Réduction des dépenses". Voilà le nouveau slogan européen. L’OCDE le suggère. Le FMI l’exige. Les politiciens le promettent. Mercredi, l’Italie a par exemple annoncé une réduction des dépenses à hauteur de 30 milliards de dollars
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Epargne
Si la Grèce s'apparente à Bear Stearns, qui sera notre Lehman Brothers ?
par fredericlaurent 27 mai 2010Pour vous dire mes plus profondes impressions, la crise grecque me rappelle bigrement le début des subprime avec Bear Stearns. Le big problème, c’est que six mois plus tard survenait Lehman Brothers… Pourquoi faire ce lien entre l’épisode Bear Stearns d’hier et la crise grecque d’aujourd’hui ? A l’époque en 2008, on savait que les banques s’étaient empêtrées dans des produits hautement toxiques même si l’étendue des dégâts n’était pas totalement mesurée. Afin d’éviter l’effondrement de tout notre système bancaire, les dettes privées ont été remplacées par des dettes publiques
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Epargne
Le mauvais rêve de la récession devient le cauchemar de la dépression
par Bill Bonner 27 mai 2010Le problème n’a jamais été une récession, mais un excès de dette dans le secteur privé. Les autorités ont mal compris les choses. Elles pensaient qu’il s’agissait d’une récession normale, qu’elles pouvaient "guérir" avec plus de crédit et de dépenses. Elles ont donc ajouté l’équivalent de milliers de milliards de dollars de nouvelles dettes du secteur public
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Epargne
Mondial des débiteurs : la Chine siffle un penalty contre l'euro
par Philippe Béchade 27 mai 2010Wall Street (-0,7% au final) a littéralement dévissé de plus de 1,3% en l’espace de seulement cinq minutes mercredi soir. La cause de cette chute abrupte ? Les opérateurs ont découvert sur le site du Financial Times un article qui relatait les interrogations de la Chine concernant le niveau de ses réserves en obligations souveraines libellées en euro
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La consommation de pétrole de la Chine est passée d’à peine plus de deux millions de barils par jour au début des années 1980 à près de neuf millions de barils par jour cette année", déclare Rubin. "Et à la vitesse à laquelle son marché automobile croît, le pays pourrait doubler sa consommation de pétrole au cours de la décennie à venir
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L’euro prend une raclée. Les investisseurs s’inquiètent de sa survie face aux problèmes de dette de l’Europe.Mais l’euro n’est pas seul. Le pire déficit, du côté est de l’Atlantique, n’est pas en Grèce, mais au Royaume-Uni. Et l’endettement des ménages le plus grave n’est pas en Espagne ; il est lui aussi en Angleterre. La livre sterling chute ; ce n’est pas étonnant. Cette semaine, les spéculateurs parient contre la Grèce en nombres record
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Epargne
Oncle Sam vous offre 3,15% sur des T-Bonds 2020… à vot’bon coeur !
par Philippe Béchade 26 mai 2010Aucune bonne nouvelle n’a semblé avoir de prise sur la tendance — notamment la forte hausse des commandes industrielle en Europe (+5,2% en mars dernier… ce qui apparaît déjà lointain). Pas de quoi faire oublier le florilège de mesures d’austérité qui sont annoncées dans le sud de l’Europe et qui font craindre un second épisode de récession à l’égal de 2008 sur le Vieux Continent
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Epargne
Chine : anticipez ses intérêts et vous deviendrez un homme riche !
par Isabelle Mouilleseaux 26 mai 2010La crise sur la dette souveraine menace la Zone euro. La BCE s’invite au club des adeptes du quantitative easing, ouvre les robinets de la création monétaire à tout-va, et achète du papier "toxique". La confiance dans la capacité des Etats de la zone à faire face à leurs engagements s’effrite jour après jour ; l’insolvabilité menace. Toute hausse des taux sera fatale
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Epargne
Une évidence effroyable, trois conséquences et trois actions urgentes
par Simone Wapler 25 mai 2010Selon l’Agefi du 28 avril qui commente le cas de la Grèce : "Standard & Poor’s base sa note sur une perspective de recouvrement de 30% à 50% sur la dette grecque en cas de restructuration… Les CDS grecs à 5 ans ont dépassé les 800 points de base, reflétant un risque de défaut cumulé de 46,1% contre 25,3% pour le Portugal". Je vous rappelle que nous ne considérons pas "si" la Grèce va faire défaut, mais "quand"
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Nous nous demandons toujours comment tourne le monde. Comment une nation de 1,3 milliard de personnes contrôlée par des communistes a-t-elle pu devenir le pays le plus dynamique et le plus capitaliste au monde ? Comment peuvent-ils augmenter leur richesse entre trois à dix fois plus rapidement que le rythme américain — alors que les Etats-Unis sont censés être l’économie "la plus flexible et la plus sophistiquée" au monde
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Le Fonds monétaire international ne s’embarrasse plus de précautions stylistiques : dans son rapport annuel sur l’Espagne publié ce lundi, le FMI pointe du doigt un important déficit budgétaire, un lourd endettement du secteur privé, une hausse de la productivité quasi inexistante, une faible compétitivité de l’industrie et un secteur bancaire présentant "des îlots de faiblesse" — un doux euphémisme : la moitié des caisses d’épargne ibériques seraient en dépôt de bilan sans le secours de l’Etat
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Il y a de quoi méditer. La semaine dernière a été riche en événements — moins spectaculaires certes que le "flash krach" du 10 mai… mais intéressant malgré tout. L’or a reculé… les marchés aussi… et surtout, l’Allemagne a pris des mesures visant à empêcher — ou tout au moins limiter — la spéculation contre les actifs en euro
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Nous poursuivons aujourd’hui notre passage en revue des principes de base du stock-picking en temps de crise… et des résultats qu’il a rapporté aux lecteurs de MoneyWeek. L’automobile est l’autre grande victime de la crise. Déjà en surcapacités avant la crise et vendant à crédit, le secteur a été durement éprouvé en Bourse, entre juillet 2007 et mars 2009. Sceptiques, nous avons évité de nous placer sur le constructeur Renault et sur les équipementiers Valeo, Plastic Omnium, Faurecia et Michelin
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Ces dernières semaines, alors que les risques de contagion liés à l’endettement des pays européens les moins solvables étaient à leur paroxysme, les autorités européennes ont mobilisé quelque 750 milliards d’euros ainsi que le soutien de la BCE pour acheter des obligations souveraines et enrayer ce problème. Cette tension s’est directement traduite sur le marché interbancaire
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"Nous aurons de l’inflation et de la déflation. Probablement dans l’ordre inverse. Les prix chuteront à mesure que le secteur privé se désendette. Mais ils finiront par grimper à mesure que le secteur public s’endette de plus en plus, et monétise cette dette en créant plus de dollars"