Les master limited partnerships, ou MLP, sont populaires auprès des investisseurs. La plupart de ces entreprises possèdent des pipe-lines pour le pétrole et le gaz. Elles distribuent la majeure partie de leurs bénéfices à leurs partenaires. Les rendements sont désormais de près de 5,5% pour le très populaire Alerian MLP Index. Un rendement de 5,5%, c’est plutôt bien vu de nos jours. Mais il y a un an, les MLP rapportaient en moyenne 8,8%, selon le Wall Street Journal"
Pourquoi le prix de l’électricité ne baissera plus (1/2)
La nouvelle augmentation significative des tarifs de l’électricité reflète une tendance inflationniste durable, contrairement à ce que prône le gouvernement…
Platine is the new gold ?
Ce métal précieux négligé est pourtant très recherché dans l’industrie…
L’or à 15 000 dollars ?
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Cette semaine boursière est marquée par la crainte. Lundi, les places européennes ont terminé en hausse sous l’impulsion du début de séance américaine, mais la peur s’est ensuite de nouveau emparée des marchés avec une vague de baisse qui durait encore hier. Les marchés ne sont pas sereins, le VIX parle de lui-même avec un plus haut d’un mois proche des 27 points
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Les émergents ont sauvé la croissance en 2009. La crise les a forcés à évoluer. "Nombre de pays sont passés d’un modèle uniquement axé sur les exportations à un modèle hybride faisant la part belle à leur marché domestique", analyse ING IM. Ces mesures de soutien de la consommation d’une classe moyenne grandissante, illustrées par le colossal plan de relance chinois, fonctionnent. Les émergents sont "sur la voie d’une croissance durablement plus élevée", estime Invesco
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Aucun des éléments-clés d’une reprise — l’immobilier, l’emploi ou les dépenses de consommation — ne suggère que l’économie est en train de revenir à ses habitudes d’avant récession. Selon Bloomberg : "Les ventes de logements anciens ont chuté au rythme record de 27% en juillet alors que les effets du crédit d’impôt gouvernemental s’effaçaient, montrant que le chômage menace de saper la reprise économique américaine"
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Epargne
Immobilier US et dette irlandaise, un cocktail détonnant
par Françoise Garteiser 25 août 2010Le temps se gâte sur l’Irlande : après l’intervention de la BCE sur le marché obligataire irlandais, c’est au tour de Standard & Poor’s de porter un coup à l’Ile d’Emeraude. L’agence de notation a en effet abaissé la note de la dette souveraine irlandaise d’un cran. Elle passe à AA-, et est placée sous "surveillance négative" — en d’autres termes, un autre abaissement est possible dans les temps qui viennent
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Peter Schiff, de chez Euro Pacific Capital, nous a fait remarquer que la Réserve fédérale n’en avait pas fini de détruire l’économie, mais que "Bernanke et ses supporters ont affirmé que leurs mesures de relance prendraient fin dès que la reprise commencerait pour de bon". M. Schiff a aussi ajouté : "c’est sans compter que la ‘croissance’ créée par les mesures de relance est totalement dépendante de ces mesures. La ‘reprise’ cessera dès que l’on mettra un terme aux mesures de relance"
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Epargne
"Comment est-ce que j'ai pu être aussi idiot… de croire aux actions ?"
par Bill Bonner 25 août 2010Sur le marché de l’immobilier américain, un prêt hypothécaire sur six n’est pas payé, ou est en cours de saisie. Le nombre de saisies devrait dépasser le million cette année. Oui, cher lecteur, prenez un siège. Installez-vous confortablement. Cette correction va prendre du temps. La masse monétaire large — le M3 — telle que calculée par John Williams se contracte encore au taux annuel de 6%. Plus de 14 millions d’Américains sont au chômage. Et une "épidémie" de frugalité semble avoir infecté les consommateurs
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Au-delà des communiqués triomphants dans la presse grand public, les signes de fragilité continuent de se multiplier. La Banque centrale européenne, par exemple, a racheté la semaine pour 338 millions d’euros de dettes… par rapport à 10 millions seulement la semaine précédente. Ce n’est pas tout : il y a une dizaine de jours, le BCE avait racheté pour 60 millions d’euros d’obligations irlandaises… La Guinness a comme un petit goût d’ouzo, ces derniers temps, non
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Hier, nous nous posions les questions suivantes : que se passe-t-il sur les marchés américains ? Quelles perspectives pouvons-nous dégager sur le S&P 500 ? Avant de répondre concrètement à ces questions, j’avais d’abord commencé par revenir — au moyen d’une courte rétrospective — sur la configuration technique actuelle du S&P 500. Je vous avais par exemple expliqué que la death cross qui s’était matérialisée sur l’indice le 2 juillet dernier n’avait pas engendré — comme certains le prévoyaient — de correction particulière
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Durant les prochaines années, les actions américaines ne rapporteront probablement pas grand-chose. Le marché boursier est entré dans une phase baissière en janvier 2000. Depuis, les investisseurs boursiers ont gagné de l’argent et perdu de l’argent. Certains ont une petite longueur d’avance. D’autres ont un petit retard. La plupart ont stagné
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Initialement prévue à 2,5%, la croissance du PIB a été révisée à 2% l’an prochain. Sachant quand même — soyons justes — que l’objectif pour cette année, à 1,4%, devrait être respecté. Au moins jusqu’à la prochaine révision, en tout cas. Les investisseurs se trouvent peu à peu à court de branches haussières auxquelles se raccrocher. Croissance US ? Non, dommage, ça ne va pas de ce côté-là. Croissance européenne ? Désolé, là non plus. Croissance française ? Nope, pas là non plus. Emploi ? Immobilier ? Résultats trimestriels
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Space X a été la première entreprise à lancer en orbite, en 2008, une fusée entièrement financée par le privé, le Falcon 1. Il existe évidemment d’autres fusées utilisées par l’industrie de la défense et fabriquées par des entreprises privées, mais elles sont le produit d’un financement par les contribuables. Le Falcon est la première plate-forme orbitale adhérant à ce qu’on pourrait qualifier d’effort d’entreprenariat du marché libre
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Le rally d’été impulsé par les bons résultats publiés par les entreprises se poursuit sur les marchés. Et ce, malgré des statistiques économiques contrastées. Ne nous méprenons pas pour autant, à ce stade, le consensus reste toujours aussi baissier. Alors où en sommes-nous véritablement ? Que se passe-t-il sur les marchés américains ? Quelles perspectives pouvons-nous dégager ? Tel est l’objet de mon texte du jour. En effet, je vais revenir avec vous sur la configuration technique des marchés américains et, plus particulièrement, sur celle du S&P 500
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Je commence à me méfier des excès d’activité. Tous ces gens qui ont des diplômes dans la finance et le commerce…Ils sont allés à Wall Street et ont travaillé comme des forçats. Fonçant à Cleveland pour passer un accord… se précipitant à Londres pour une réunion… le téléphone portable dans une main, le Blackberry dans l’autre… A quoi est-ce que ça servait ? La Bourse de Wall Street est censée allouer efficacement les capitaux de manière à ce que l’économie de libre échange puisse progresser. Mais ce qu’ils faisaient, en fait, c’était créer une sorte de Bulle de la Finance — essayant de faire autant d’opérations que possible pour gagner des commissions. Et toutes ces opérations impliquaient l’injection de nouvelles dettes dans le système"
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Voici ce qui me surprend le plus, cher lecteur : c’est le dollar qui semble résister le mieux à l’érosion. Il conserve son statut de valeur refuge contre vents et marées. Le gouvernement américain est insolvable. Du point de vue obligataire, sa prestigieuse notation ne tient plus qu’à un fil. Ses autorités ont prouvé à maintes reprises qu’elles étaient prêtes à détruire leur devise plutôt que de laisser une correction se produire… Bref, toutes les conditions sont réunies pour une fuite loin du billet vert
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Le Dow Jones a perdu 1,39%, à 10 271,21 points. Le Nasdaq perdait quant à lui 1,66%, clôturant à 2 178,95 points. Enfin, le S&P 500 a terminé à 1 075,63 points, soit une chute de 1,69%. En cause ? Surprise surprise… l’emploi américain est en baisse ! On a enregistré 500 000 demandes d’allocations chômage la semaine dernière aux Etats-Unis — alors que le consensus tablait sur une baisse, à 476 000
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11% pour le CAC 40 entre le 21 juin et le 5 juillet, + 9% entre le 5 et le 15 juillet, le baromètre boursier a des sautes de pression et ne prévoit qu’une certitude : la volatilité ne prend pas de vacances. Voici trois façons d’en profiter et de s’en protéger
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Le Wall Street Journal publiait un article intitulé : "la grande bulle obligataire américaine". Les auteurs s’inquiètent de ce que les obligations soient entrées dans une bulle semblable à celle des actions technologiques en 1999. Vous vous rappellerez qu’à l’époque, les investisseurs étaient si certains du potentiel des nouvelles technologies qu’ils étaient prêts à payer des prix astronomiques pour des "technos" écervelées. Bon nombre de ces entreprises n’avaient pas de plans réalistes, pas de revenus, pas d’employés, et aucun espoir de gagner de l’argent