Le mois prochain verra le 10ème anniversaire de la guerre contre l’Irak. C’était une guerre très populaire, au début. Les Etats-Unis voulaient frapper quelqu’un ; l’Irak était disponible. Mais après quelques années, le public s’en est désintéressé, avant de carrément s’y opposer…
Bill Bonner
Bill Bonner
Bill Bonner est le co-auteur de plusieurs best-sellers comme L’inéluctable faillite de l’économie américaine, L’empire des dettes et Hormegeddon. Dans son dernier livre, Gagner ou Perdre, il explore l’avancée de nos sociétés modernes, leurs hauts et leurs bas – et révèle en chemin la règle unique qu’une société doit suivre si elle espère progresser... tout en montrant ce qui arrive à ceux qui ignorent cette règle. En 1978, Bill a fondé Agora – désormais le plus grand réseau de recherche indépendante au monde. Il a lancé des entreprises partout dans le monde – dont les Publications Agora en France... emploie des milliers de personnes... a investi sur cinq continents... a acquis plus de deux douzaines d’entreprises... possède des centaines de milliers d’acres de terrain... parcourt plus de 150 000 km chaque année... et a lancé plus de 1 000 produits. Ses notes quotidiennes, publiées notamment dans La Chronique Agora, sont lues par plus de 500 000 personnes dans le monde – dont près de 40 000 en France. Bill s’est donné pour mission d’identifier les meilleures opportunités d’investissement – et de montrer où les investisseurs particuliers commettent les erreurs les plus coûteuses. En deux mots, Bill offre un regard lucide sur le monde de l’économie et de l’investissement -- un point de vue contrarien et sans concession, que vous ne retrouverez nulle part ailleurs.
-
-
Depuis la semaine dernière, nous examinons ce qui promet d’être le plus grand krach de tous les temps. Il a commencé furtivement… quand un petit groupe de banquiers américains a embarqué à bord d’un train secret au milieu de la nuit
-
Oh là là. La situation s’échauffe. Des sujets autrefois calfeutrés derrière des portes fermées… dont on ne discutait qu’en chuchotant… et seulement parmi les renégats et les canailles… sont désormais exposés en plein jour…
-
Le Carême est censé représenter les 40 jours que Jésus a passés à jeûner dans le désert. On commémore ces jours maigres par la prière, la méditation et la renonciation. En ce qui nous concerne, pas une seule goutte d’alcool ne franchira nos lèvres du Mercredi des Cendres jusqu’au Dimanche de Pâques…
-
Selon le Wall Street Journal, le rebond des actions est en train de se transformer en un vrai marché haussier. Pourquoi ? Parce qu’il y a quantité d’argent en circulation…
-
L’un des avantages rarement mentionnés lié au fait d’avoir de l’argent, c’est qu’on est moins l’obligé d’autres qui en ont. Plus on en a — du moins en théorie –, plus on peut ignorer les autres personnes fortunées et vaquer à ses propres affaires…
-
De petites distorsions innocentes de l’IPC ont grandi jusqu’à devenir grotesques et monstrueuses. Mais les autorités ne peuvent l’admettre. Il y a trop de choses en jeu…
-
Epargne
Inflation : qui ment le plus, l’Argentine ou les Etats-Unis ?
par Bill Bonner 8 février 2013Le gouvernement argentin a annoncé lundi un gel des prix pour mettre fin à leur augmentation. Selon les autorités, l’inflation n’était que de 10%. Visiblement, on est plus proche des 30%. Aujourd’hui, cependant, ce n’est pas le pays des gauchos qui nous intéresse… mais plutôt celui qui se situe au nord du Rio Grande.
-
Ce pauvre Chuck Hagel. Chaque jour, le Wall Street Journal alourdit la charge qui pèse sur le prochain secrétaire à la Défense américain. Un crochet du gauche parce qu’il ne sait pas ce qu’il fait… un uppercut parce qu’il n’a pas mesuré à sa juste valeur la menace d’un Iran nucléaire… un direct parce qu’il ne s’est pas penché assez vite pour lécher les bottes des néo-conservateurs… Nous apprécions le spectacle.
-
▪ Jamais il n’y a eu tant d’allégresse à Baltimore. Depuis dimanche, on se salue avec le sourire entre voisins. Au bureau, les collègues échangent des anecdotes… rient… se tapent dans le dos.
-
Epargne
Malgré les actions de la Fed, les bons du Trésor US vont dans la mauvaise direction
par Bill Bonner 4 février 2013▪ « L’économie américaine passe en mode recul », titrait le Financial Times la semaine dernière. C’était la grande nouvelle de la semaine dernière : l’économie US a décliné de 0,1% au dernier trimestre 2012.
-
Inflation et récession
La baisse du PIB US est due à la chute des dépenses militaires
par Bill Bonner 1 février 2013Le PIB américain a en fait chuté de 0,1%. Pourquoi ? Parce que le Pentagone a réduit ses dépenses de 40 milliards de dollars.
-
Inflation et récession
L’inflation fait couler la classe moyenne américaine
par Bill Bonner 31 janvier 2013Si l’on mesure correctement l’inflation, les dommages ont été bien pires que ce que réalisent la plupart des gens. A 10% par an, peu de familles de la classe moyenne américaine peuvent s’en sortir. Elles ont perdu des revenus… du pouvoir d’achat… et de la richesse au cours des 20 dernières années.
-
Si vous faites partie de la classe moyenne, vous êtes comme les soldats de Custer à la bataille de Little Big Horn : ils étaient dans une situation bien plus dangereuse qu’ils le pensaient… Notre conseil : sortez pendant qu’il en est encore temps.
-
Epargne
A la classe moyenne : sauve qui peut ! C’est chacun pour soi !
par Bill Bonner 29 janvier 2013Ces derniers jours, les actions grimpent… tandis que l’or baisse. Les analystes sont d’avis que nous ne sommes qu’au début d’une hausse majeure des actions. Les commentateurs sont du même avis.
-
Passons en revue la classe moyenne américaine — qui reflète par de nombreux aspects la condition de la classe moyenne dans l’ensemble des pays développés.
-
▪ Qu’est-ce qui nourrit les marchés actuels ? Une vraie reprise ? Ou l’argent facile et rapide des banques centrales ? Nous allons faire une supposition échevelée. Il y a quelques jours, les…
-
Inflation et récession
Les inégalités ne sont pas celles qu’on croit…
par Bill Bonner 24 janvier 2013Stiglitz, selon ce qu’en dit Nassim Taleb dans son livre Antifragile, s’est intéressé à Fannie Mae alors même que la bulle du crédit de 2005-2007 atteignait des sommets. Dans son rapport, il déclarait que « sur la base de l’expérience historique, le risque d’un défaut potentiel sur la dette garantie par le gouvernement est, dans les faits, de zéro ». Les probabilités d’un défaut de Fannie étaient « si réduites qu’elles sont difficiles à détecter ».