Votre correspondant croit vous avoir suggéré de vous tenir loin des valeurs high-tech trop populaires. Si ça n’a pas été le cas, il aurait dû le faire. Mais il ne fait généralement pas de recommandations d’investissement…
Bill Bonner
Bill Bonner
Bill Bonner est le co-auteur de plusieurs best-sellers comme L’inéluctable faillite de l’économie américaine, L’empire des dettes et Hormegeddon. Dans son dernier livre, Gagner ou Perdre, il explore l’avancée de nos sociétés modernes, leurs hauts et leurs bas – et révèle en chemin la règle unique qu’une société doit suivre si elle espère progresser... tout en montrant ce qui arrive à ceux qui ignorent cette règle. En 1978, Bill a fondé Agora – désormais le plus grand réseau de recherche indépendante au monde. Il a lancé des entreprises partout dans le monde – dont les Publications Agora en France... emploie des milliers de personnes... a investi sur cinq continents... a acquis plus de deux douzaines d’entreprises... possède des centaines de milliers d’acres de terrain... parcourt plus de 150 000 km chaque année... et a lancé plus de 1 000 produits. Ses notes quotidiennes, publiées notamment dans La Chronique Agora, sont lues par plus de 500 000 personnes dans le monde – dont près de 40 000 en France. Bill s’est donné pour mission d’identifier les meilleures opportunités d’investissement – et de montrer où les investisseurs particuliers commettent les erreurs les plus coûteuses. En deux mots, Bill offre un regard lucide sur le monde de l’économie et de l’investissement -- un point de vue contrarien et sans concession, que vous ne retrouverez nulle part ailleurs.
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Hier, Elizabeth devait faire réparer son ordinateur. Nous nous sommes donc rendu à la boutique Apple, dans un centre commercial. Ce qui a engendré un certain nombre de réflexions sur le matérialisme moderne aux Etats-Unis d’Amérique…
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Nous n’avons pas de preuve. Juste une observation. Mais il nous semble que le gouvernement commence et finit toujours comme un outil au service de ceux qui le contrôlent…
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Oui, cher lecteur, les classes bavardes sont perturbées par « les inégalités ». Une personne possède beaucoup. Une autre, peu. Naturellement, celui qui a peu n’est pas content…
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Les faits deviennent de plus en plus curieux. La semaine dernière, la Fed a franchi une nouvelle étape dans son programme de tapering — supprimant 10 milliards de dollars de son programme de rachats obligataires mensuels…
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Nous avons commencé cette série d’articles par une question : n’est-il pas possible que les mêmes savants qui s’attaquent aujourd’hui au problème de l’inégalité des richesses sont ceux qui en sont le plus responsables ?…
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Nous soulignions hier que le vrai capitalisme se corrige de lui-même. Piketty s’inquiète de ce que les capitalistes gagnent trop d’argent. Le retour sur investissement, dit-il, dépasse ce que gagnent les travailleurs. Il ne devrait vraiment pas se faire de souci à ce sujet…
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Epargne
Que penser du livre de Thomas Piketty sur le capital et la croissance ?
par Bill Bonner 29 avril 2014M. Piketty est peut-être l’économiste le plus chanceux de la planète. Il a écrit un livre qui ne vaut probablement pas la peine d’être lu… un livre qui est apparemment erroné et de courte vue… un livre sans aucune idée originale…
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Notre douce vie d’entrepreneur et d’investisseur, emmitouflée, capitonnée et molletonnée par une bulle nourrie par le crédit qui a pratiquement commencé le jour de notre naissance et se poursuit encore à ce jour — tout cela a été remis en question par les difficiles conditions de la vie andine…
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Epargne
En Bourse ou en politique, il faut se méfier de « l’information »
par Bill Bonner 25 avril 2014Les « nouvelles » sont une innovation récente. Pendant la majorité de notre passage sur terre, les humains n’avaient pas accès à internet, à la télévision, aux journaux ou aux téléphones…
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Nous expliquions hier que l’empire américain et la bulle du crédit dépendent l’un de l’autre. En deux mots, après les années 70, il n’y avait plus assez de jus dans l’économie américaine pour payer à la fois les dépenses sociales nationales… et un mastodonte impérial dans le reste du monde…
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Nous l’avons déjà souligné : l’empire américain et la bulle du crédit prendront probablement fin en même temps. Chacun dépend de l’autre…
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Nous sommes en train de nous endurcir. Physiquement. Financièrement. Sentimentalement. Nous avons déjà dû resserrer notre ceinture d’un cran pour empêcher notre pantalon de tomber. Nous avons également dû resserrer nos finances…
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Que diable ! Avec des succès comme l’Irak, l’Afghanistan, l’Egypte et la Syrie… il est tout à fait logique que les Etats-Unis envoient des troupes en Ukraine, non ?…
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Uri Geller pouvait tordre des cuillers à distance. La Fed, elle, tord l’économie tout entière. C’est à peine s’il reste un prix indemne. Aucun business plan ou stratégie d’investissement n’avance sans garder un oeil sur ce que fait la banque centrale…
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Voici le triste récit des finances d’un ranch argentin — Gualfin — situé au milieu de nulle part dans les hautes Andes. En affaires comme dans d’autres domaines, nous sommes mis à mal… et endurci…
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Généralement, une expansion de crédit les fait grimper. Une contraction les fait redescendre. Le crédit est encore en développement, dit Richard Duncan. Mais quand arrivera le prochain trimestre… gare…!
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Les fondations de l’étrange économie actuelle ont été posées dans les années 60 et 70. En 1968, la devise américaine a été, dans les faits, détachée de l’or. En 1971, les pays étrangers ne pouvaient plus échanger leurs dollars contre de l’or, faisant du dollar la devise de réserve mondiale…